Lyrics and translation Kathy Mattea - Black Lung/ Coal

Black Lung/ Coal

He′s had more hard luck than most men could stand
The mines was his first love but never his friend
He's lived a hard life and hard he′ll die
Black lung's done got him his time is nigh
Black lung, black lung, oh you're just bidin′ your time
Soon all of this sufferin′ I'll leave behind
But I can′t help but wonder what God had in mind
To send such a devil to claim this soul of mine
He went to the boss man but he closed the door
Well, it seems you're not wanted when you′re sick and you're poor
You ain′t even covered in their medical plans
And your life depends on the favors of man
Down in the poor house on starvation's plan
Where pride is a stranger and doomed is a man
His soul full of coal dust till his body's decayed
And everyone but black lung′s done turned him away
Black lung, black lung, oh your hand′s icy cold
As you reach for my life and you torture my soul
Cold as that water hole down in that dark cave
Where I spent my life's blood diggin′ my own grave
Down at the graveyard the boss man came
With his little bunch of flowers, dear God what a shame
Take back those flowers, don't you sing no sad songs
The die has been cast now, a good man is gone
He′s had more hard luck than most men could stand
The mines was his first love but never his friend
He's lived a hard life and hard he′ll die
Black lung's done got him his time is nigh
Black lung, black lung, oh you're just bidin′ your time
Soon all of this sufferin′ I'll leave behind
But I can′t help but wonder what God had in mind
To send such a devil to claim this soul of mine

Black Lung/ Coal

Il a eu plus de malchance que la plupart des hommes ne pourraient en supporter
Les mines étaient son premier amour, mais jamais son amie
Il a vécu une vie dure et il mourra dur
La maladie des poumons noirs l'a emporté, son heure est venue
Poumons noirs, poumons noirs, oh tu ne fais que gagner du temps
Bientôt, toutes ces souffrances, je les laisserai derrière moi
Mais je ne peux m'empêcher de me demander ce que Dieu avait en tête
D'envoyer un tel diable pour réclamer mon âme
Il est allé voir le patron, mais il a fermé la porte
Eh bien, il semble qu'on ne soit pas le bienvenu quand on est malade et pauvre
Tu n'es même pas couvert par leurs assurances médicales
Et ta vie dépend des faveurs de l'homme
En bas, à la maison de pauvres, sur un plan de famine
Où la fierté est une étrangère et la mort est un homme
Son âme pleine de poussière de charbon jusqu'à ce que son corps se décompose
Et tout le monde, sauf la maladie des poumons noirs, l'a tourné le dos
Poumons noirs, poumons noirs, oh tes mains sont glacées
Quand tu atteins ma vie et que tu tortures mon âme
Froid comme ce trou d'eau là-bas, dans cette grotte sombre
Où j'ai dépensé le sang de ma vie à creuser ma propre tombe
Au cimetière, le patron est venu
Avec son petit bouquet de fleurs, mon Dieu, quelle honte
Reprends ces fleurs, ne chante pas de chansons tristes
Le sort est jeté maintenant, un bonhomme est parti
Il a eu plus de malchance que la plupart des hommes ne pourraient en supporter
Les mines étaient son premier amour, mais jamais son amie
Il a vécu une vie dure et il mourra dur
La maladie des poumons noirs l'a emporté, son heure est venue
Poumons noirs, poumons noirs, oh tu ne fais que gagner du temps
Bientôt, toutes ces souffrances, je les laisserai derrière moi
Mais je ne peux m'empêcher de me demander ce que Dieu avait en tête
D'envoyer un tel diable pour réclamer mon âme