Lyrics and translation Kollegah - Boss der Bosse

Boss der Bosse

Nutte ich bin der boss
Du holst deine verwandtschaft weil man dir sagt du bist mit nichten der boss
Ey ich entsicher die beretta
Baller dann um mich bitch und kehr rapper von der straße wie im herbst blätter
Wer is besser, ich brauch kein kokain bitch ich werde morgens wach stehe auf
Sage dann zu meinem spiegelbild kollegah du bist noch immer der king und geh raus
Ihr seid vollbarttragendebahnhofspenner ich mache musik für businessmänner
Goldzahntragendehardcoregangster gewichtestemmer im fitnesscenter

Wer is hart alle leute die kollegah kennen hoffen du bist nervenstark
Denn wenn ich sage das ich deine mutter ficke dann ist das weiss gott nicht einfach so dahergesagt
Ich ficke sie bis zum herzinfarkt, leute finden sie dann in der gosse wieder
Und schicken die bitch zum nervenarzt, ich steig in den benz und gebe stoff wie dealer
Rapper zahlen geld um den boss zu featuren, ich fahr dich im tiefergelegten
Beamer an, seh dann grinsend dem arzt dabei zu, wie der penner dich wiederbelebt
Hey solange meine schnellschussknarre mir nen geldfluss garantiert is alles ok das ist koka musik
Die respekt einflössende redlight-größe t zu dem o zu dem n zu dem i

Rapper sehn mich an, rapper sehen weg
Rapper sehen ein t o n ist der mack
Ihr seid alle muttersöhnchen
Kid ich komm und mache deiner mutter söhnchen
Rapper sehn mich an, rapper sehen weg
Rapper sehen ein t o n ist der mack
Der überking
Der rest der rapper sind betrüger wie die gebrüder grimm

Erfolgslaufbahn als vollkaufmann, ich komm mit samsonite-koffer voller mp5's
Poliere meinen goldlauf blank und du läufst zurück zu deinen eltern so wie hänschen klein
Gangstastyle kid deine eltern sagen das kollegah nur ein primitiver prollrapper ist
Aber deutsche rapper kucken mir auf die goldkette bitch und labern mir dann alles nach als wenn sie dolmetscher sind
Du bist nicht mal ein meter groß, nicht mal ein hetero, hab ich grade keine zeit fickt dich mein schäferhund
K zu dem o ich befriedige mit meiner maskulinen stimme sogar bitches am telefon

Der boss der bosse, selfmade king, ich ficke deine mutter freizeitmässig
Immer wenn mir danach ist ich rufe an sie kommt vorbei ich komm in ihrem mund so wie weissheitszähne
Rapper kennen sowas nur vom hören-sagen denken was da toni rappt ist größenwahnsinn
Fakt ist aber ihre bitches holn mein dick wie aus einem Mund im chor "ey die größe, wahnsinn!"
Und ich habe kein gras, ich habe qualitatives piece das dope ist schwarz und weich
Ich hab nepal temple balls wie dalei lama im genitalbereich
Ey yo bitch ich stehe vor dem parkenden benz, arme verschrenkt, strassenpräsenz
Alietten platinketten an denen ein silbernes ahornblatt glänz
Ja du hast fans aber nur solange bis der boss in den benz steigt
In deine city fährt, nicht lange wartet, einmal ausholt, dir nen uppercut verpasst, bis du oben im draht von einem starkstrommast hängst

Rapper sehn mich an, rapper sehen weg
Rapper sehen ein t o n ist der mack
Ihr seid alle muttersöhnchen
Kid ich komm und mache deiner mutter söhnchen
Rapper sehn mich an, rapper sehen weg
Rapper sehen ein t o n ist der mack
Der überking
Der rest der rapper sind betrüger wie die gebrüder grimm

Rapper sehn mich an, rapper sehen weg
Rapper sehen ein t o n ist der mack
Ihr seid alle muttersöhnchen
Kid ich komm und mache deiner mutter söhnchen
Rapper sehn mich an, rapper sehen weg
Rapper sehen ein t o n ist der mack
Der überking
Der rest der rapper sind betrüger wie die gebrüder grimm

Le Patron des Patrons

Salope, je suis le patron.
Tu vas chercher ta famille parce qu'on t'a dit que tu n'étais pas le patron.
Hé, je désarme la Beretta.
Je tire autour de moi, salope, et je balaie les rappeurs de la rue comme des feuilles d'automne.
Qui est le meilleur ? J'ai pas besoin de cocaïne, salope, je me réveille le matin, je me lève,
je dis à mon reflet dans le miroir : Kollegah, tu es toujours le roi, et je sors.
Vous êtes des branleurs à barbe de gare, je fais de la musique pour les hommes d'affaires.
Des gangsters hardcore avec des dents en or, des haltérophiles dans les salles de sport.

Qui est chaud ? Tous ceux qui connaissent Kollegah espèrent que tu as les nerfs solides.
Parce que quand je dis que je baise ta mère, ce n'est pas dit à la légère, crois-moi.
Je la baise jusqu'à la crise cardiaque, les gens la retrouvent dans le caniveau.
Ils envoient cette salope chez le psy, je monte dans la Benz et je distribue de la came comme un dealer.
Les rappeurs paient pour avoir le patron en featuring, je te roule dessus avec ma voiture surbaissée.
Je démarre, puis je regarde le médecin te ranimer en souriant, ce pauvre con.
Hé, tant que mon flingue me garantit un flux d'argent, tout va bien. C'est de la musique cocaïne,
qui impose le respect, la pointure rouge : T.O.N.I.

Les rappeurs me regardent, les rappeurs détournent le regard.
Les rappeurs reconnaissent que T.O.N. est le boss.
Vous êtes tous des fils à maman.
Gamin, j'arrive et je fais des enfants à ta mère.
Les rappeurs me regardent, les rappeurs détournent le regard.
Les rappeurs reconnaissent que T.O.N. est le boss.
Le roi suprême.
Le reste des rappeurs sont des imposteurs comme les frères Grimm.

Une carrière réussie en tant que commercial, j'arrive avec une valise Samsonite pleine de MP5.
Je fais briller mon flingue en or et tu retournes en courant chez tes parents comme le petit Poucet.
Style gangster, gamin, tes parents disent que Kollegah n'est qu'un rappeur prolo et primitif.
Mais les rappeurs allemands me regardent la chaîne en or, salope, et répètent tout ce que je dis comme s'ils étaient des interprètes.
Tu ne fais même pas un mètre, tu n'es même pas un hétéro, si je n'ai pas le temps, mon berger allemand te baisera.
K.O., je fais jouir les meufs au téléphone rien qu'avec ma voix masculine.

Le patron des patrons, self-made king, je baise ta mère pendant mon temps libre.
Dès que j'en ai envie, je l'appelle, elle vient, je rentre dans sa bouche comme une dent de sagesse.
Les rappeurs ne connaissent ça que par ouï-dire, ils pensent que ce que rappe Toni est de la mégalomanie.
Le fait est que leurs meufs prennent ma bite comme une seule femme : "Hé, la taille ! Incroyable !".
Et je n'ai pas de beuh, j'ai de la qualité supérieure, la came est noire et douce.
J'ai des boules de temple népalais comme le dalaï-lama dans le slip.
Hé yo, salope, je suis devant la Benz garée, les bras croisés, prestance de rue.
Des chaînes Aliette en platine avec une feuille d'érable en argent qui brille.
Ouais, tu as des fans, mais seulement jusqu'à ce que le patron monte dans la Benz.
Il se rend dans ta ville, il n'attend pas longtemps, il s'élance, te colle une droite, et te voilà accroché au sommet d'un pylône électrique.

Les rappeurs me regardent, les rappeurs détournent le regard.
Les rappeurs reconnaissent que T.O.N. est le boss.
Vous êtes tous des fils à maman.
Gamin, j'arrive et je fais des enfants à ta mère.
Les rappeurs me regardent, les rappeurs détournent le regard.
Les rappeurs reconnaissent que T.O.N. est le boss.
Le roi suprême.
Le reste des rappeurs sont des imposteurs comme les frères Grimm.

Les rappeurs me regardent, les rappeurs détournent le regard.
Les rappeurs reconnaissent que T.O.N. est le boss.
Vous êtes tous des fils à maman.
Gamin, j'arrive et je fais des enfants à ta mère.
Les rappeurs me regardent, les rappeurs détournent le regard.
Les rappeurs reconnaissent que T.O.N. est le boss.
Le roi suprême.
Le reste des rappeurs sont des imposteurs comme les frères Grimm.