Lyrics and translation Kollegah - King

King

Yeah, yeah, ey, ah!
Laden, entsichern und anvisieren, ich komm' und erkenne die Angst in dir
Denn du weißt: Ich baller' die tödlichen Zeilen raus, die dann das ganze Land zitiert
Rapper stehen da, transpirieren
Geht meine Felgen polieren, ich eliminiere die Hälfte der Rapper der Welt, dominiere von Zentrum bis Randbezirk
Ich bin die Zukunft, der Rest, er bleibt antiquiert
Du bietest mir mutig zum Kampf die Stirn
Sie wird mit 'nem Autogramm verziert
Handsigniert, bedank dich bei mir
Deine Crewmember sehen mich und salutieren
Während die Bitches von ihnen im Bett meiner Villa mal eben die Beine für mich auseinandermachen wie beim Amputieren
Kid, ich roll' in dem Benz, schillerndes Chrom
Felgen, die scheinen wie am Himmel der Mond
Jetskis, Villen in Rom
Und Nutte, du sprichst mit dem King
Der die Scheines stapelt
Rapper zerfickt und dann ihre Weiber nagelt
Den in Sachen Punchlines keiner schlägt, als sei er Abel
Sieh mich mit 100-Dollar-Bills die Blunts drehen
Mit Schotter aus der Bank gehen
Bosshaft im Testarossa durch das Land fegen
Wenn Opfer das mit ansehen
Haben sie danach mehr Komplexe als mein schlossartiges Anwesen
In Costa Ricas Strandgegend (yeah)
Jetzt holen selbst Atheisten Rosenkränze raus
Denn die Bossaura löst bei ihnen Todesängste aus
Mehr Groupies und Hater als Julius Cäsar
Hoes sagen: Ich wünschte, mein Freund wäre so cool wie Kollegah
Denn er ist
King, Lorbeerkränze, die mein Haupt zieren
King, ich habe Raubtiere als Haustiere
King, ich gebe den Bitches, was die Bitches verdienen
Hab' nie die Zukunft gelesen, sondern Geschichte geschrieben
Denn ich bin
King, Lorbeerkränze, die mein Haupt zieren
King, ich habe Raubtiere als Haustiere
King, ich fickte die Szene und war jung und stürmisch
Heute bin ich King und jeder redet mit mir unterwürfig
Laden, entsichern und wegballern, Rapper sind alle nur Dreck, Alter
K zu dem O, der Mac in dem Geschäft, ich zerfetze per MAC-10 dein Cap, Alter
Yeah, back in dem Game
Platinumringe, 'ne Menge Cocaine
Status des Kings, glänzende Chain
K zu dem I zu dem N zu dem G
Goldenes Bentley-Emblem
Unangezweifelter Bossstatus
Dein Team hat mehr Nieten als Rockerclubs
Ich beende dein Leben per Shotgunschuss
Rambo-Mimik, neonfarbene Lamborghinis
Du willst Beef, ich komm' an und zerlege mit der Dschungelmachete dein Kampfsportteam, Bitch
Deutschrap ist nur ein Haufen cockblasender Toys
Ich bin der Godfather wie Zeus, fahre bossartig im Royce
Und schieß mit Pumpguns umher
Denn Whack-Rapper in Deutschland gibt's wie Sand an 'nem Meer
In Guantanamera
Ich bin King und es gibt keinen in der Thronfolge
Widerspruch ist nicht vernehmbar wie 'n von mir beseitigter Kronzeuge
Alleinige Dominanz, keiner der Rapper kann gegen den Boss aller
Bosse gewinnen
Ich komm' und demütige jeden, der sich in den Weg stellt, denn ich bin der
King, Lorbeerkränze, die mein Haupt zieren
King, ich habe Raubtiere als Haustiere
King, ich gebe den Bitches, was die Bitches verdienen
Hab' nie die Zukunft gelesen, sondern Geschichte geschrieben
Denn ich bin
King, Lorbeerkränze, die mein Haupt zieren
King, ich habe Raubtiere als Haustiere
King, ich fickte die Szene und war jung und stürmisch
Heute bin ich King und jeder redet mit mir unterwürfig
Jetzt ist der Straßenboss hier
Ey, wenn mir mal jemand meine Visage poliert, dann an der Statue von mir
Und jetzt sieh dir diese Poser an
Die früher Deutschrap regierten, aber heute verlieren, so wie Kobraschlangen
Denn jeder, der mich stoppen will
Kriecht nach dem Fight auf allen Vieren aus dem Ring, wie das Mädchen in dem Horrorfilm
Ich bin die Zukunft, Mann
Und eröffne das Kreuzfeuer wie der Ku Klux Klan
Denn ich bin King (King King King)
(Lyrics & Sync. by Ramon)

Roi

Ouais, ouais, ey, ah!
Je charge, j’arme et je vise, j’arrive et je vois la peur dans tes yeux.
Parce que tu sais : je balance des punchlines mortelles, que tout le pays reprendra ensuite.
Les rappeurs sont là, ils transpirent.
Je fais polir mes jantes, j’élimine la moitié des rappeurs du monde, je domine du centre à la périphérie.
Je suis le futur, le reste, c’est du passé.
Tu me défies courageusement au combat.
Tu seras décorée d’un autographe.
Signé à la main, remercie-moi.
Les membres de ton équipe me voient et me saluent.
Pendant que leurs meufs, dans ma villa, me font un grand écart comme pour une amputation.
Kid, je roule dans la Benz, chrome éblouissant.
Des jantes qui brillent comme la lune dans le ciel.
Des jet-skis, des villas à Rome.
Et meuf, tu parles au roi.
Celui qui empile les billets.
Celui qui défonce les rappeurs et se tape ensuite leurs femmes.
Celui que personne ne bat en punchlines, comme s’il était Abel.
Regarde-moi rouler des blunts avec des billets de 100 dollars.
Sortir de la banque avec des liasses.
Rouler comme un boss dans la Testarossa à travers le pays.
Quand les victimes voient ça.
Elles ont ensuite plus de complexes que mon domaine qui ressemble à un château.
Au bord de la plage au Costa Rica (ouais).
Maintenant, même les athées sortent les chapelets.
Parce que mon aura de boss leur donne la peur de la mort.
Plus de groupies et de haters que Jules César.
Les meufs disent : j’aimerais que mon mec soit aussi cool que Kollegah.
Parce qu’il est.
Roi, des couronnes de laurier ornent ma tête.
Roi, j’ai des animaux sauvages comme animaux de compagnie.
Roi, je donne aux meufs ce qu’elles méritent.
Je n’ai jamais lu l’avenir, j’ai écrit l’histoire.
Parce que je suis.
Roi, des couronnes de laurier ornent ma tête.
Roi, j’ai des animaux sauvages comme animaux de compagnie.
Roi, j’ai baisé le game et j’étais jeune et fougueux.
Aujourd’hui, je suis roi et tout le monde me parle avec soumission.
Je charge, j’arme et je tire, les rappeurs ne sont que de la merde, mec.
K à l’ O, le Mac dans le game, je déchiquette ta casquette avec mon MAC-10, mec.
Ouais, de retour dans le game.
Des bagues en platine, beaucoup de cocaïne.
Statut de roi, chaîne qui brille.
K au I au N au G.
Emblème Bentley en or.
Statut de boss incontesté.
Ton équipe a plus de rivets qu’un club de motards.
Je mets fin à ta vie d’un coup de fusil à pompe.
Gueule de Rambo, Lamborghini fluo.
Tu veux du beef, j’arrive et je démonte ton équipe d’arts martiaux avec une machette, salope.
Le rap allemand n’est qu’une bande de jouets suceurs.
Je suis le Parrain comme Zeus, je roule comme un boss en Rolls-Royce.
Et je tire partout avec des fusils à pompe.
Parce qu’il y a des rappeurs bidons en Allemagne comme du sable sur la plage.
À Guantanamo.
Je suis le roi et il n’y a personne pour me succéder.
La contradiction n’est pas audible, comme un témoin gênant que j’aurais éliminé.
Domination totale, aucun rappeur ne peut gagner contre le boss des boss.
Des boss.
J’arrive et j’humilie tous ceux qui se mettent en travers de mon chemin, parce que je suis le.
Roi, des couronnes de laurier ornent ma tête.
Roi, j’ai des animaux sauvages comme animaux de compagnie.
Roi, je donne aux meufs ce qu’elles méritent.
Je n’ai jamais lu l’avenir, j’ai écrit l’histoire.
Parce que je suis.
Roi, des couronnes de laurier ornent ma tête.
Roi, j’ai des animaux sauvages comme animaux de compagnie.
Roi, j’ai baisé le game et j’étais jeune et fougueux.
Aujourd’hui, je suis roi et tout le monde me parle avec soumission.
Le boss de la rue est là.
Eh, si jamais quelqu’un polit ma face un jour, ce sera sur ma statue.
Et maintenant, regarde ces poseurs.
Qui dominaient le rap allemand avant, mais qui perdent aujourd’hui, comme des cobras.
Parce que tous ceux qui veulent m’arrêter.
Rampent hors du ring à quatre pattes après le combat, comme la fille dans le film d’horreur.
Je suis le futur, mec.
Et j’ouvre le feu comme le Ku Klux Klan.
Parce que je suis le roi (Roi Roi Roi).
(Paroles et Sync. par Ramon)