Lyrics and translation Kool Savas feat. Ercandize, Amar, Caput & MottaMan - Feuer (feat. Ercandize, Amar, Caput & MottaMan)

Feuer (feat. Ercandize, Amar, Caput & MottaMan)

Ihr bekommt es extra dick - STOP!
Der beste Witz, den ich seit langem gehört hab' ist, dass ich ein Conscious-Rapper bin
Common Sense, Kool Savas, Talib Kweli
Irgendwie klingt das komisch, euer Leben scheint öder zu sein als die Prärie
Weswegen sonst packt ihr solchen Quatch aus dem Sack
Gib mir Stift und Blatt und es macht brrrraaat tatatata
Und du klappst zusammen wie'n kack Klappfahrrad
Ich pack' euch Spacken in Schachteln
Benutz' euch als Taschenzirkus wenn ich nichts zum Lachen hab'
Ihr werdet überschattet von meiner Größe und Aura
Weil meine Präsenz allein nimmt ein ganzes verficktes Stadion ein
Ihr dagegen befindet euch im Embryo-Stadium, seit nicht entwickelt
Und glaubt mich zu ficken, das ist doch Unsinn
Legt euch lieber im Bett auf'm Bauch und kackt in die Luft
Was ich technisch bringe ist härter als 'ne Axt in der Brust
Man könnte tatsächlich denken ihr Schabracken ackert im Puff
Allein gemessen an den ganzen fremden Cocks die ihr lutscht
Der Quatsch und Stuss, den ihr pushed, den Nonsens den ihr verbreitet
Macht uns und euch elenden Schweine endgültig gegenteilig
Mich battlen ist wie auf Teilen kleben bleiben, es gibt kein zurück mehr
Ums auf Deutschrap-Niveau zu sagen: Fickt mal eure Mütter
Du machst auf heiß, doch verbrennst dir die Hand, warum?
Denn du Punk bist nicht Teflonbeschichtet (ohoh)
Wir stecken alles in Brand hier, FIRE! FIRE!
Es geht wie Strom durch deine Glieder und Knochen
Dieser Beat ist mieser als die offene See
Wenn du in 'nem Boot sitzt im Fieber seit Wochen
Jeder Flow ist [.], Zeilen zeigen wie Bilder, Zeichen und Schilder
Bis du denkst du lebst alleine im Wald wie ein Wilder
Amar macht Action-Jackson, du Wichser, achte auf deinen Ton, du Hund
Und laber nicht rum, denn deine Tage sind um
Bassdrum hart, Snare trocken, Mucke düster, muss sein
Das klaut dir den Atem, wie harte Schläge auf's Brustbein
Amargeddon, irgendwann muss Schluss sein mit Faxen-Rapper
Flachsen und landen am Schluss im Fluss bei den Lachsen
Dir fehlt Energie am Mic, probier und hol dir Actimel
Doch komm nicht an und front mit Lines die süßer sind als Rudy Huxtable
Ich mach den Beat zum Marker, es wir Takt für Takt bestellt
Traktor-Rap, Killerrhymes, leider fehlt ein Faktor: Geld
Doch ich bin drauf und dran, lauf du Punk, außenlang
Egal, wo du herkommst, ich komme und lege dein Haus in Brand
Und ihr denkt nicht ernsthaft, ich lass' euch das durchgehen Was euch bevorsteht
Wenn ich fertig bin, steht ihr und verhaltet euch vornehm
Gangster Gangster, von mir aus, komm sag dass du Gangster bist, doch ich glaub dir nicht
Weil sagen dass man Gangster ist nicht Gangster ist
Ey, vielleicht kennst du mich, hier spricht dein Gewissen, ist lang her
Du warst noch jünger, als wir das letzte mal gequatscht haben, ich schäm mich mittler-
Weile 'n Dreck um dich Pisser, du bist unverbesserlich fake
Ich wär schon längst weg, aber du lässt mich nicht gehen
Ich würd' ja noch mehr erzählen, doch Caput braucht die restlichen Zeilen
Um Rapper zu zwingen auf dem Teppich zu bleiben
Kommt immer drauf an von welchem Standpunkt man es sieht
Sag mir, du hast keine Angst und ich sag: "Du hast keine Fantasie"
Kannst dir nicht vorstellen was alles mir dir passieren kann?
Gehst langsam unter, vergiss nicht, Familie macht jeden Mann verwundbar
Also wunder dich jetzt nicht, dass die Kacke am dampfen ist, das wäre ausgesprochen schlecht
Denn du hast selbst angefangen Drohungen ausgesprochen
Jetzt haut's dich aus den Socken, sitzt auf dem trockenen, was Verstärkung angeht
Die Frage: Kannst dich auch allein Behaupten?
Komm schon, wenn ich sage: "Stolz ist noch wichtig", sagst du: "Vollkommen richtig"
Ja, dann zeig uns doch aus was für 'nem Holz du geschnitzt bist
Weil du sonst gefickt bist
Ich kack' im Stehen, du pisst im Sitzen, du Ficker willst an die Spitze
Pump Dinger in deine Ritze, du wimmerst so wie auf Spritze
Kein Schimmer was mit den Kids ist, sie fingern sich in dem Buisness
Ich hinder sie nicht, ich fick es, und pimmel mich hier durchs Dickicht
Du Tucke rhymest für die Kohle, ich spucke Zeilen des Todes
Ich bin kein Rapper, ich drück dir Bars wie Blei in die Koje
Ich hab mein Hype wo ich wohne, du gibst dein Arsch für Fame und ein paar Tausend
Dich zerpflücken ist wie kacken und gemütlich eine rauchen
Was Rap, mach Abitur, sonst bleibst du für immer Penner
Schau, du machst Geräusche wie dieser verfickte Killa Kela
Frag, wer soll die Scheiße toppen?
Du und flow passt zusammen wie... hmm... schwarze Lackschuhe und weiße Socken
Was Gangster, ich schick Chos dich Affen besuchen
Du rappst wie 'n Rentner, geh rap von Kaffee und Kuchen
Lan, rede nicht, von wegen komm um meine Homies zu testen
Geht in die Hose, wie mit Durchfall Pepperoinis zu essen, ich geb 'n Fick

Feu (feat. Ercandize, Amar, Caput & MottaMan)

Vous l'aurez en extra large - STOP!
La meilleure blague que j'ai entendue depuis longtemps, c'est que je suis un rappeur conscient
Common Sense, Kool Savas, Talib Kweli
C'est marrant, vos vies ont l'air plus fades que la prairie
Sinon, pourquoi sortir de telles conneries de votre sac ?
Donne-moi un stylo et du papier et ça fait brrrraaat tatatata
Et tu te replies comme un putain de vélo pliant
J'emballe vous les nazes dans des cartons
Je vous utilise comme un cirque de poche quand je n'ai pas envie de rire
Vous êtes éclipsés par ma grandeur et mon aura
Parce que ma présence seule occupe un putain de stade entier
Vous, en revanche, vous êtes au stade embryonnaire, vous n'êtes pas développés
Et croire que vous pouvez me baiser, c'est absurde
Allongez-vous plutôt sur le ventre dans votre lit et chiez en l'air
Ce que j'apporte techniquement est plus dur qu'une hache dans la poitrine
On pourrait croire que vous labourez dans un bordel, bande de clodos
Jugeant par toutes les bites étrangères que vous sucez
Les conneries que vous avez sorties, les absurdités que vous propagez
Nous rendent, nous et vous, misérables porcs, définitivement opposés
Me clasher, c'est comme rester collé sur des rails, il n'y a plus de retour en arrière
Pour le dire au niveau du rap allemand : Allez baiser vos mères
Tu fais le chaud, mais tu te brûles la main, pourquoi ?
Parce que toi, le punk, tu n'es pas recouvert de téflon (ohoh)
On met le feu ici, FEU ! FEU !
Ça traverse tes membres et tes os comme l'électricité
Ce beat est plus mauvais que la mer agitée
Quand tu es coincé sur un bateau, fiévreux depuis des semaines
Chaque flow est [.], les lignes apparaissent comme des images, des signes et des symboles
Jusqu'à ce que tu penses vivre seul dans les bois comme un sauvage
Amar fait du Action-Jackson, espèce de connard, fais gaffe à ton ton, le chien
Et arrête de jacasser, tes jours sont comptés
Grosse caisse lourde, caisse claire sèche, musique sombre, c'est obligé
Ça te coupe le souffle, comme des coups violents sur le sternum
Armageddon, un jour il faut que ça s'arrête avec les rappeurs ringards
Vous finissez par vous écraser et atterrir dans la rivière avec les saumons
Il te manque de l'énergie au micro, essaie de te procurer de l'Actimel
Mais ne viens pas me faire chier avec des punchlines plus douces que Rudy Huxtable
Je transforme le beat en marqueur, on commande mesure par mesure
Rap tracteur, rimes tueuses, il manque malheureusement un facteur : l'argent
Mais j'y suis presque, cours, espèce de punk, cours
Peu importe d'où tu viens, j'arrive et je mets le feu à ta maison
Et vous ne pensez pas sérieusement que je vais vous laisser vous en tirer comme ça ? Ce qui vous attend...
Quand j'aurai fini, vous resterez plantés là, à vous tenir correctement
Gangster Gangster, vas-y, dis que tu es un gangster, mais je ne te crois pas
Parce que dire qu'on est un gangster, ce n'est pas être un gangster
Hé, peut-être que tu me connais, c'est ta conscience qui te parle, ça fait longtemps
Tu étais encore plus jeune que la dernière fois qu'on a parlé, j'ai honte pour toi-
Je me fous de toi, espèce de petit con, tu es un faux invétéré
Je serais parti depuis longtemps, mais tu ne me laisses pas partir
J'en dirais plus, mais Caput a besoin des lignes restantes
Pour forcer les rappeurs à rester sur le tapis
Tout dépend du point de vue
Dis-moi que tu n'as pas peur et je te dirai : "Tu manques d'imagination"
Tu ne peux pas imaginer tout ce qui peut t'arriver ?
Tu coules lentement, n'oublie pas que la famille rend chaque homme vulnérable
Alors ne t'étonne pas que la merde frappe le ventilateur, ce serait vraiment dommage
Parce que tu as toi-même commencé à proférer des menaces
Maintenant tu te retrouves les mains vides, assis au sec, en ce qui concerne les renforts
La question est : peux-tu te défendre seul ?
Allez, si je dis : "La fierté est importante", tu réponds : "Tout à fait d'accord"
Alors montre-nous de quel bois tu te chauffes
Parce que sinon, tu vas te faire baiser
Je chie debout, tu pisses assis, espèce de connard, tu veux atteindre le sommet
Tu te bourres le cul, tu trembles comme si tu étais sous speed
Tu n'as aucune idée de ce qui se passe avec les gamins, ils se foutent le doigt dans le business
Je ne les empêche pas, je m'en fous, et je me fraye un chemin à travers les fourrés
Tu rappes pour le fric, je crache des rimes mortelles
Je ne suis pas un rappeur, je t'enfonce des barres comme du plomb dans ta couchette
J'ai mon buzz là où j'habite, toi tu donnes ton cul pour la gloire et quelques milliers
Te déchiqueter, c'est comme chier et fumer tranquillement une clope
Le rap, passe ton bac, sinon tu resteras un clochard pour toujours
Regarde, tu fais des bruits comme ce putain de Killa Kela
Demande qui peut faire mieux que cette merde ?
Toi et le flow, ça va ensemble comme... hmm... des chaussures noires et des chaussettes blanches
Le gangster, j'envoie Chos te rendre visite, espèce de singe
Tu rappes comme un retraité, vas rapper du café et des gâteaux
Mec, ne parle pas, en venant tester mes potes
Ça va foirer, comme manger des Pepperoni avec la diarrhée, j'en ai rien à foutre