Lyrics and translation Kyle Landry - Pachelbel's Gymnopedie Canon

Pachelbel's Gymnopedie Canon

You are my love, my life, my best chance to live free...
My eyes when I watch the sun setting over the sea,
My lungs when the cool breeze blows softly into me,
You are my ears when I listen to Canon in D.

My happiness you were, you are and always you will be...
When you laugh, when you sing, when you cry and when you dream...
When you are near or when you are far,
You always will be, always were and always are, mi carino,
My soul mate, my number one weakness and my greatest strength.

When you were born,
While you live and long after you die,
You were, you are and always will you be mine.
My sweetest sweet, my dearest dear,
My only trust and hope after God and my freedom of all fears.
Always my Love, no matter how far or how near...

The oceans so vast as far as one can see under the
Sky so blue and beyond all the mountains′ highest peaks.
So far, deep and long my love for you,
So strong and lasting, so real and true...

The beauty of your eyes looking into mine,
Your skin, your hair all so soft and so fine...
How lucky am I that you could be all mine.

This time I now know as the cool autumn winds softly blow.
I've said this all even before, just yesterday and long ago!
So I stand now silent to all, for only she really knows...
And the autumn breeze slowly sooths a once lost soul.

Alas my Angel I have found and she has found me.
So far, far away but still hear her heart beat.

Beyond all any hopes and more than any dream.
I now believe in fate and see in destiny.

The Lord has not left us, alone or lonely...
For now my Angel I have found and she has found me.

I can not put into all the words
Or have imagined or foreseen, how perfect we will feel together
And how I miss you every time you log off and leave.

Le Canon Gymnopédie de Pachelbel

Tu es mon amour, ma vie, ma meilleure chance de vivre libre...
Mes yeux lorsque je regarde le soleil se coucher sur la mer,
Mes poumons lorsque la brise fraîche souffle doucement sur moi,
Tu es mes oreilles lorsque j'écoute le Canon en ré majeur.

Mon bonheur tu étais, tu es et tu seras toujours...
Lorsque tu ris, lorsque tu chantes, lorsque tu pleures et lorsque tu rêves...
Lorsque tu es près ou lorsque tu es loin,
Tu seras toujours, tu étais toujours et tu es toujours, mon chéri,
Mon âme sœur, ma plus grande faiblesse et ma plus grande force.

Lorsque tu es née,
Tant que tu vis et longtemps après ta mort,
Tu étais, tu es et tu seras toujours mienne.
Mon plus doux amour, mon plus cher trésor,
Ma seule confiance et mon seul espoir après Dieu et ma liberté de toutes mes peurs.
Toujours mon amour, peu importe la distance ou la proximité...

Les océans si vastes aussi loin que l'œil peut voir sous le
Ciel si bleu et au-delà de tous les sommets des montagnes.
Si loin, si profond et si long mon amour pour toi,
Si fort et durable, si réel et vrai...

La beauté de tes yeux qui regardent dans les miens,
Ta peau, tes cheveux tous si doux et si fins...
Quelle chance j'ai que tu puisses être toute à moi.

Cette fois, je le sais maintenant, comme le souffle frais de l'automne souffle doucement.
Je l'ai déjà dit, hier et il y a longtemps !
Alors je me tais maintenant devant tous, car seule elle le sait vraiment...
Et la brise d'automne apaise lentement une âme perdue.

Hélas, mon ange, je l'ai trouvée et elle m'a trouvé.
Si loin, si loin mais j'entends encore son cœur battre.

Au-delà de tout espoir et plus que tout rêve.
Je crois maintenant au destin et je vois dans la destinée.

Le Seigneur ne nous a pas laissés, seuls ou solitaires...
Car maintenant mon ange, je l'ai trouvée et elle m'a trouvé.

Je ne peux pas mettre dans toutes les paroles
Ou avoir imaginé ou prévu, à quel point nous nous sentirons parfaits ensemble
Et combien je t'aime chaque fois que tu te déconnectes et que tu pars.