Blissful Death - Signs of the Swarm , Left to Suffer translation in French

Blissful Death

Patricide: the killing of ones father,
a song that cries to heaven... but don't be afraid

I hope the next time I see your face is when Im fucking bashing it in

Writhing and rotting my brain is allotting
a gas line of hate that connects to my body
This struggle to feel you never let me
heal am I going insane or is negligence real
The reality is there's no room for this
pig serotonin has told me it's my turn to dig
Fire up and incinerate worthless remains
And watch as his pestilent
Rot turns to flames

Festering your absence, a sickness that sleeps in the back of my brain
You maggot, you coward
You scream and she cowers
But you never gave a shit
Oh here we go again
I watched you as you threw her to the floor
Oh my god
I wish you'd die
Oh, fuck

What so you think your a man?
Standing there with a bottle in your hand

I will never forget
The look on your face
A sorrowful swine, put you in your place

Burn, burn, burn
Fucking burn bitch

Visions of your oh sweet blissful death
Haunt my mind like the coldest ever taunting breath
So Luring, whispering thoughts more twisted
Escalating to dreaming of the tomb I would visit

Once setting flame to flesh
Embers enlighten
Reflecting in the joyous tears bound to my eyes
Accompanied by bleakened smile
As I deliver you to the bowels of

HELL

Blood for blood
Clawing at the walls of my skull
I fear myself
So Luring, I can't resist it

You fucking dead beat

I hope the next time I see your face is when Im fucking bashing it in

Writhing and rotting my brain is allotting
a gas line of hate that connects to my body
This struggle to feel you never let me
heal am I going insane or is negligence real
The reality is there's no room for this
pig serotonin has told me it's my turn to dig
Fire up and incinerate worthless remains
And watch as his pestilent Rot turns to flames

Mort Bienheureuse

Parricide : le meurtre de son père,
une chanson qui crie au ciel... mais n'aie pas peur

J'espère que la prochaine fois que je verrai ta face, ce sera pour la défoncer.

Me tordant et pourrissant, mon cerveau alloue
un gazoduc de haine connecté à mon corps.
Cette lutte pour ressentir, tu ne m'as jamais laissé
guérir. Est-ce que je deviens fou ou ta négligence est-elle réelle ?
La réalité, c'est qu'il n'y a pas de place pour cette
truie. La sérotonine m'a dit que c'était mon tour de creuser.
Enflamme et incinère ces restes sans valeur
et regarde sa pestilentielle
pourriture se transformer en flammes.

Ton absence purulente, une maladie qui dort au fond de mon cerveau.
Sale vermine, espèce de lâche !
Tu cries et elle tremble,
mais tu t'en es toujours fichu.
Oh, ça recommence !
Je t'ai regardé la jeter par terre.
Oh mon Dieu !
J'espère que tu vas mourir.
Oh, putain !

Tu te prends pour un homme ?
Debout, une bouteille à la main.

Je n'oublierai jamais
l'expression de ton visage,
sale porc. Je vais te remettre à ta place.

Brûle, brûle, brûle !
Brûle en enfer, salope !

Des visions de ta douce et bienheureuse mort
hantent mon esprit comme le souffle le plus glacial et moqueur.
Si séduisantes, murmurant des pensées plus tordues,
elles me font rêver du tombeau que je visiterai.

Une fois la flamme mise à ta chair,
les braises s'illuminent,
se reflétant dans les larmes de joie liées à mes yeux,
accompagnées d'un sourire sombre,
alors que je te livre aux entrailles de

L'ENFER.

Sang pour sang.
Griffant les parois de mon crâne,
j'ai peur de moi-même.
Si séduisant, je ne peux pas y résister.

Espèce de bon à rien !

J'espère que la prochaine fois que je verrai ta face, ce sera pour la défoncer.

Me tordant et pourrissant, mon cerveau alloue
un gazoduc de haine connecté à mon corps.
Cette lutte pour ressentir, tu ne m'as jamais laissé
guérir. Est-ce que je deviens fou ou ta négligence est-elle réelle ?
La réalité, c'est qu'il n'y a pas de place pour cette
truie. La sérotonine m'a dit que c'était mon tour de creuser.
Enflamme et incinère ces restes sans valeur
et regarde sa pestilentielle pourriture se transformer en flammes.