Lyrics and translation Loreena McKennitt - Marrakesh Night Market (Med Comp Edit)

Marrakesh Night Market (Med Comp Edit)

They're gathered in circles
the lamps light their faces
The crescent moon rocks in the sky
The poets of drumming
keep heartbeats suspended
The smoke swirls up and then it dies
Would you like my mask?
would you like my mirror?
cries the man in the shadowing hood
You can look at yourself
you can look at each other
or you can look at the face of your god
The stories are woven
and fortunes are told
The truth is measured by the weight of your gold
The magic lies scattered
on rugs on the ground
Faith is conjured in the night market's sound
Would you like my mask?
would you like my mirror?
cries the man in the shadowing hood
You can look at yourself
you can look at each other
or you can look at the face of your god
The lessons are written
on parchments of paper
They're carried by horse from the river Nile
says the shadowy voice
In the firelight, the cobra
is casting the flame a winsome smile
Would you like my mask?
would you like my mirror?
cries the man in the shadowing hood
You can look at yourself
you can look at each other
or you can look at the face of your god

Marché de nuit de Marrakech (Med Comp Edit)

Ils sont rassemblés en cercles
les lampes éclairent leurs visages
La lune croissante se balance dans le ciel
Les poètes du tambour
maintiennent les battements de cœur en suspens
La fumée tourbillonne puis s'éteint
Voulez-vous mon masque ?
Voulez-vous mon miroir ?
crie l'homme à la capuche ombragée
Tu peux te regarder toi-même
tu peux regarder les autres
ou tu peux regarder le visage de ton dieu
Les histoires sont tissées
et les fortunes sont dites
La vérité est mesurée par le poids de ton or
La magie est éparpillée
sur des tapis sur le sol
La foi est conjurée dans le son du marché de nuit
Voulez-vous mon masque ?
Voulez-vous mon miroir ?
crie l'homme à la capuche ombragée
Tu peux te regarder toi-même
tu peux regarder les autres
ou tu peux regarder le visage de ton dieu
Les leçons sont écrites
sur des parchemins de papier
Elles sont transportées à cheval depuis le fleuve Nil
dit la voix ombragée
Dans la lumière du feu, le cobra
lance à la flamme un sourire charmant
Voulez-vous mon masque ?
Voulez-vous mon miroir ?
crie l'homme à la capuche ombragée
Tu peux te regarder toi-même
tu peux regarder les autres
ou tu peux regarder le visage de ton dieu