Lyrics and translation Los Tucanes de Tijuana - Armando Soto

Armando Soto

Alla en el rancho el realito
Muy cerquita del salado
Es nacido Armando Soto
Un amigo muy callado
Voy a contarles un poco
De lo que a el le a pasado!
Con un contrabando de armas,
Armando iba bien cargado
Pero en cavorca sonora
Todo le decomisaron
La ley recojio la carga
Pero a el no lo apresaron.
En la sierra de ensenada
Tenian pista clandestina
Donde hacian operaciones
De llerva y de cocaina
Un dia les callo el gobierno
Habian cantado gallinas.
Al mirarse descubierto
En la avioneta volaron
Los federales disparan
Y en el motor le pegaron
La avioneta cayo a tierra
Pero siempre se fugaron.
Y despues alla ya en tecate
En un reten Judicial
Le encontraron cocaina
Todavia sin maquillar.
Lo llevaron a tijuana
Privado de libertad!
Escuadra 45 siempre le gusta portar
Musica, vino y mujeres
Disfruta donde el esta
El gallo no tenia plumas
Le volvieron a brotar!
Armando le dice a carlos
Hay que seguirle de frente.
Y Contesta Carlos Soto
Eso esta claro pariente.
Trabajar Contra el gobierno
Es orgullo sinaloense.

Armando Soto

Là-bas, dans le ranch du Realito
Tout près du Salado
Est né Armando Soto
Un ami très silencieux
Je vais te raconter un peu
Ce qui lui est arrivé !
Avec une contrebande d’armes,
Armando était bien chargé
Mais à Cavorca, Sonora
Tout lui a été confisqué
La loi a récupéré la cargaison
Mais il n’a pas été arrêté.
Dans la Sierra d’Ensenada
Ils avaient une piste clandestine
Où ils effectuaient des opérations
De marijuana et de cocaïne
Un jour, le gouvernement est tombé sur eux
Des poules avaient chanté.
En se voyant découvert
Ils ont décollé dans l’avion
Les fédéraux tirent
Et ils ont touché le moteur
L’avion s’est écrasé au sol
Mais ils se sont toujours enfuis.
Et puis là-bas, déjà à Tecate
Lors d’un barrage de la justice
On a trouvé de la cocaïne
Toujours sans maquillage.
Ils l’ont emmené à Tijuana
Privé de liberté !
Un calibre 45 qu’il aime toujours porter
Musique, vin et femmes
Il profite où il est
Le coq n’avait pas de plumes
Elles ont repoussé !
Armando dit à Carlos
Il faut continuer de l’avant.
Et Carlos Soto répond
C’est clair, mon ami.
Travailler contre le gouvernement
C’est la fierté des Sinaloens.