Lyrics and translation MandoPony - Balloons (Instrumental)

Balloons (Instrumental)

So many years,
So many dark memories,
So many fears we've now put to ease.
Pain makes you do things you never knew you could do,
Is this all real?
Or just deja vu?
But now the party's over,
Now the guests are gone.
Its already past our bedtime,
Its already almost dawn.
Just like balloons we soar on our own,
Finally free from the pain of our home.
And just like balloons that no-one will hold,
Free from the truth,
That no-one will know.
Just little children,
Not at all strange,
Until the lights went out
And everything changed.
Alone and afraid for oh so long,
Wondering what did we do wrong?
'Cause now the partys over
And everyone is red,
I feel sick to my stomach,
Or am i sick in the head?
Just like balloons we soar on our own,
Finally free from the pain of our home.
And just like balloons,
That no one will hold,
Free from the truth that no one will know.
All of the pain,
Far in the past,
Yet echoes of screams,
Forever will last.
Just like balloons we soar on our own,

Balloons (Instrumental)

Tellement d'années,
Tellement de sombres souvenirs,
Tellement de peurs que nous avons maintenant apaisées.
La douleur te fait faire des choses que tu ne pensais pas pouvoir faire,
Est-ce que tout cela est réel ?
Ou juste du déjà vu ?
Mais maintenant, la fête est finie,
Maintenant, les invités sont partis.
Il est déjà l'heure de dormir,
Il est déjà presque l'aube.
Comme des ballons, nous volons de nos propres ailes,
Enfin libres de la douleur de notre foyer.
Et comme des ballons que personne ne retiendra,
Libres de la vérité,
Que personne ne connaîtra.
De petits enfants,
Pas du tout étranges,
Jusqu'à ce que les lumières s'éteignent
Et que tout change.
Seuls et effrayés pendant si longtemps,
Nous nous demandons ce que nous avons fait de mal ?
Parce que maintenant la fête est finie
Et tout le monde est rouge,
J'ai mal au ventre,
Ou suis-je malade de la tête ?
Comme des ballons, nous volons de nos propres ailes,
Enfin libres de la douleur de notre foyer.
Et comme des ballons,
Que personne ne retiendra,
Libres de la vérité que personne ne connaîtra.
Toute la douleur,
Loin dans le passé,
Mais les échos des cris,
Dureront toujours.
Comme des ballons, nous volons de nos propres ailes,