Lyrics and translation Mars Ill - Who Will Answer?

Who Will Answer?

I think, therefore I am fresh, stand next to the next man
And can bless fans, decks and mics
Come correct like I was right, but when I write sometimes I'm wrong
So I confess over beats I rock on
And rock on like gravel even though I've got it locked like lock stock and barrel
God still watches the sparrow from the deep down to the shallow
Blaze mics like I'm John Wayne plain blazing the saddle
Must break straighter than an arrow to uprock on the narrow
Apparel, sack and ashes, but deserve 10, 000 lashes from 10, 000 fascists for my sins
To burn like 10, 000 matches enter into my world
Where I do what I hate and the man I want to be escapes me
And I wonder to myself, was God tripping when He made me?
Am I off or am I crazy? Am I lost or am I lazy?
Days from where I keep him, I'm falling off the deep end
I'm looking for the weekend to slow down and try to keep ends
Meeting but the gap is 10 feet, I want to dine where the richest men eat
I can't stand it, where's my seat?
At least, well, in the least I'm not marked by the beast
I'm waiting for the Son to rise, but I'm not looking to the east
Instead I'm looking to the feast, the last supper, rooms of upper
Upper levels, clear of devils, place where I'll forever settle
Heart is heavier than metal for the lost souls tossed
Hard rocks scared of being soft, they'll burn like molotovs
A Holocaust, they can't see the cost paid, the cascade
They can't see who's the boss, they can't see the last days
On and off the track plays, drowned out by gat sprays
So I look to the sky and wonder, what would Dad say?
I look to the sky and wonder what would Dad say?
I look to the sky and pray, what does Dad say?

(Repeat 2X)
From the caverns of the mind, we wander on and stumble blind
Wade through the tangled maze of starless nights and sunless days
Looking for some kind of a clue for what to do
Hoping for the road to lead us to the truth

Qui répondra ?

Je pense, donc je suis frais, je me tiens à côté du prochain homme
Et je peux bénir les fans, les platines et les micros
J’arrive bien, comme si j’avais raison, mais quand j’écris, parfois j’ai tort
Alors j’avoue sur les rythmes que je fais vibrer
Et je fais vibrer comme du gravier, même si je l’ai verrouillé comme un coffre-fort
Dieu observe toujours le moineau du fond du puits jusqu’au fond
Je fais flamber les micros comme John Wayne qui brûle la selle
Il faut se casser plus droit qu’une flèche pour se hisser sur le étroit
Vêtements, sac et cendres, mais je mérite 10 000 coups de fouet de 10 000 fascistes pour mes péchés
Pour brûler comme 10 000 allumettes, entrer dans mon monde
Où je fais ce que je déteste et l’homme que je veux être m’échappe
Et je me demande, Dieu était-il en train de se droguer quand il m’a créé ?
Est-ce que je déraille ou est-ce que je suis fou ? Est-ce que je suis perdu ou est-ce que je suis paresseux ?
À des jours de l’endroit où je le garde, je suis en train de sombrer
Je cherche le week-end pour ralentir et essayer de joindre les deux bouts
La rencontre, mais le fossé est de 10 pieds, je veux dîner là où les hommes les plus riches mangent
Je ne peux pas le supporter, où est mon siège ?
Au moins, eh bien, au moins je ne suis pas marqué par la bête
J’attends que le Fils se lève, mais je ne regarde pas vers l’est
Au lieu de cela, je regarde vers le festin, la dernière cène, les salles supérieures
Niveaux supérieurs, sans démons, endroit où je m’installerai pour toujours
Le cœur est plus lourd que le métal pour les âmes perdues
Les hard rocks ont peur d’être mous, ils vont brûler comme des cocktails Molotov
Un holocauste, ils ne peuvent pas voir le coût payé, la cascade
Ils ne peuvent pas voir qui est le patron, ils ne peuvent pas voir les derniers jours
Sur et en dehors de la piste, les jeux sont noyés par les tirs de mitraillettes
Alors je regarde le ciel et je me demande, qu’est-ce que Papa dirait ?
Je regarde le ciel et je me demande qu’est-ce que Papa dirait ?
Je regarde le ciel et je prie, qu’est-ce que Papa dit ?

(Répétez 2 fois)
Des cavernes de l’esprit, nous errons et trébuchons les yeux bandés
Nous traversons le labyrinthe emmêlé de nuits sans étoiles et de journées sans soleil
À la recherche d’un indice sur ce qu’il faut faire
Espérant que la route nous mènera à la vérité