Lyrics and translation Marteria - Alt & verstaubt (Instrumental)

Alt & verstaubt (Instrumental)

Wie leicht sich diese Zeilen schreiben lassen,
Wie schwer, es schwach zu werden und dich einfach fallen zu lassen.
Aus breiten Straßen werden kleine Gassen, wollt dich bei mir haben, war bereit für dich jeden einzelnen Stein zu tragen.
Kann nicht an Orte fassen wo wir schon waren.
Alles so leicht, fühlst dich so reich in meinen Armen.
Brenn' alles nieder und es gibt wieder kein Alarm.
Soviel Schwein wie wir hatten, unsere kleine Farm.
Leben gefährlich und schön, ein herrlicher Film, bin unsterblich, du musst dich ans sterben gewöhnen.
All die Souvenirs nur noch wertloser Müll, die Kerzen gehen aus, die Pferde stehen still.

Ich räum auf und mit jeder Kiste verschwindet ein Stück von dir.
Ein letzter Blick auf unsere Trophäen und es geht auch ein Stück von mir.
Dein Name an der Tür ist nichts mehr wert, ich bin gern allein, hab's nie verlernt.
Los raus, du bist alt und verstaubt, nein ich brauch dich nicht mehr.

Du bist nur ein Fehler im System, schließ meine Augen, muss sie nicht offen haben um zu sehen.
Und wenn sich diese Räder nicht mehr drehen, steig ich aus, lauf die Straße runter und lass den Wagen einfach stehen.
Zwischen uns verbrannte Erde, Felder voller Minen.
Nimmst Medizin um zu vergessen, doch vergessen wirst du nie.
Bin nur noch ein Albtraum in dein' grauen Fantasien.
Dein letzter Atemzug spaziert alleine auf den Schienen.
Ramm' mir deinen letzten Nagel tief in meine Hand, fütter den Kamin mit deinen Briefen, nehm dein Gesicht von der Wand.
Bist so alt und verstaubt, kein Meer nur noch Sand.
Tränen sind nichts, Wasser verdampft.

Ich räum auf und mit jeder Kiste verschwindet ein Stück von dir.
Ein letzter Blick auf unsere Trophäen und es geht auch ein Stück von mir.
Dein Name an der Tür ist nichts mehr wert, ich bin gern allein, hab's nie verlernt.
Los raus, du bist alt und verstaubt, nein ich brauch dich nicht mehr.
Back to the future, let's move forward.

Vieille et poussiéreuse (Instrumental)

Comme il est facile d'écrire ces lignes,
Comme il est difficile de devenir faible et de te laisser tomber.
Des larges avenues deviennent des ruelles étroites, tu voulais me posséder, j'étais prêt à porter chaque pierre pour toi.
Je ne peux pas saisir les endroits où nous sommes déjà allés.
Tout est si facile, tu te sens si riche dans mes bras.
Brûle tout et il n'y aura plus d'alarme.
Tant de bonheur que nous avions, notre petite ferme.
Vivre dangereusement et magnifiquement, un film magnifique, je suis immortel, tu dois t'habituer à la mort.
Tous ces souvenirs ne sont plus que des déchets inutiles, les bougies s'éteignent, les chevaux restent immobiles.

Je range et avec chaque boîte, un morceau de toi disparaît.
Un dernier regard sur nos trophées et un morceau de moi disparaît aussi.
Ton nom sur la porte n'a plus de valeur, j'aime être seul, je ne l'ai jamais oublié.
Sors, tu es vieux et poussiéreux, non, je n'ai plus besoin de toi.

Tu n'es qu'une erreur dans le système, je ferme les yeux, je n'ai pas besoin de les ouvrir pour voir.
Et si ces roues ne tournent plus, je descends, je cours dans la rue et je laisse la voiture là.
Entre nous, la terre brûlée, des champs remplis de mines.
Tu prends des médicaments pour oublier, mais tu n'oublieras jamais.
Je ne suis plus qu'un cauchemar dans tes fantasmes gris.
Ton dernier souffle se promène seul sur les rails.
Enfonce-moi ton dernier clou bien profond dans la main, nourris le foyer avec tes lettres, enlève ton visage du mur.
Tu es si vieux et poussiéreux, pas de mer, que du sable.
Les larmes ne sont rien, l'eau s'évapore.

Je range et avec chaque boîte, un morceau de toi disparaît.
Un dernier regard sur nos trophées et un morceau de moi disparaît aussi.
Ton nom sur la porte n'a plus de valeur, j'aime être seul, je ne l'ai jamais oublié.
Sors, tu es vieux et poussiéreux, non, je n'ai plus besoin de toi.
Retour vers le futur, avançons.