Martirio y Chano Domínguez - La Bien Pagá - translation of the lyrics into French

Lyrics and translation Martirio y Chano Domínguez - La Bien Pagá




La Bien Pagá
La Bien Pagá
te pido,
Je ne te demande rien,
te debo
Je ne te dois rien
Me voy de tu vera,
Je m'en vais de ton côté,
Olvídame ya
Oublie-moi maintenant
Que he pagao con oro
J'ai payé avec de l'or
Tus carnes morenas
Tes chairs bronzées
No maldigas paya,
Ne maudis pas, ma belle,
Que estamos en paz.
Nous sommes en paix.
No te quiero,
Je ne t'aime pas,
No me quieras
Ne m'aime pas
Si to me lo diste,
Si tu me l'as donné,
Yo te pedí
Je ne t'ai rien demandé
No me eches en cara
Ne me reproche pas
Que to lo perdiste
Que tu as tout perdu
También a tu vera
À ton côté aussi
Yo to lo perdí.
J'ai tout perdu.
Bien pagá,
Bien payé,
Si tu eres la bien pagá,
Si tu es la bien payé,
Porque tus besos compré
Parce que j'ai acheté tes baisers
Y a te supiste dar
Et tu as su me les donner
Por un puñao de parné
Pour une poignée de billets
Bien pagá, bien pagá
Bien payé, bien payé
Bien pagá fuiste mujé.
Tu étais bien payé, femme.
No te engaño,
Je ne te trompe pas,
Quiero a otra,
J'aime une autre,
No creas por eso
Ne crois pas pour autant
Que te traicioné
Que je t'ai trahie
No cayó en mis brazos,
Elle n'est pas tombée dans mes bras,
Me dió sólo un beso,
Elle ne m'a donné qu'un baiser,
El único beso
Le seul baiser
Que yo no pagué.
Que je n'ai pas payé.
te pido,
Je ne te demande rien,
me llevo
Je ne prends rien avec moi
Entre esas paredes
Entre ces murs
Dejo sepultás
Je laisse enterrer
Penas y alegrías
Chagrins et joies
Que te he dao y me diste
Que je t'ai données et que tu m'as données
Y esas joyas que ahora
Et ces bijoux que maintenant
Otro lucirás.
Un autre portera.
Bien pagá,
Bien payé,
Si tu eres la bien pagá,
Si tu es la bien payé,
Porque tus besos compré
Parce que j'ai acheté tes baisers
Y a te supiste dar
Et tu as su me les donner
Por un puñao de parné
Pour une poignée de billets
Bien pagá, bien pagá
Bien payé, bien payé
Bien pagá fuiste mujé.
Tu étais bien payé, femme.





Writer(s): Juan Mostazo Morales, Rodenas Ramon Perello


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