Lyrics and translation Meiway - Vis à vis

Vis à vis

Que bonito mirar
La sombra que hacen las rejas
Mientras meto las orejas
En el centro de tu andar.
Si el mundo esta del revés
Habrá que buscar cordura,
Y una pizca de locura
Para saber quererte más.

Ayer te escribí una carta,
Hoy te escribo esta canción.
Mañana tenemos cita
Le roban tiempo al amor.
Volaremos sin movernos,
Y donde haya que firmar
Me haré una pequeña herida
Con sangre que abarca el ma-a-ar

Para dejar por escrito, que no voy a abandonar.
Y ponerle sangre al grito, de los que aman sin poder amar.

Para dejar por escrito, que no voy a abandonar.
Y ponerle sangre al grito, de los que aman sin poder amar.

Esta voz no hay quien la calle.
Ni la pared ni el cristal,
Fuera se te hecha de menos,
Anda llorando la libertad.
Y después nos dejaremos,
Si nos queremos dejar,
A ellos nunca les dejamos
Sus cadenas son de sal.
De una sal que se deshace
Con mas lagrimas de sal,
De tu quejido y el mío
En vis a vis quincenal.x3

Para dejar por escrito, que no voy a abandonar.
Y ponerle sangre al grito, de los que aman sin poder amar.

Para dejar por escrito, que no voy a abandonar.
Y ponerle sangre al grito, de los que aman sin poder amar.x2

Face à face

Comme c'est beau de regarder
L'ombre que font les barreaux
Alors que je tends l'oreille
Au rythme de tes pas.
Si le monde est à l'envers
Il faudra chercher la raison,
Et une pincée de folie
Pour savoir t'aimer davantage.

Hier je t'ai écrit une lettre,
Aujourd'hui je t'écris cette chanson.
Demain nous avons rendez-vous
Le temps vole pour l'amour.
Nous volerons sans bouger,
Et là où il faudra signer
Je me ferai une petite blessure
Avec du sang qui couvre le ma-a-ar

Pour écrire noir sur blanc, que je ne t'abandonnerai pas.
Et pour donner du sang au cri, de ceux qui aiment sans pouvoir aimer.

Pour écrire noir sur blanc, que je ne t'abandonnerai pas.
Et pour donner du sang au cri, de ceux qui aiment sans pouvoir aimer.

Cette voix, personne ne peut la taire.
Ni le mur ni le verre,
Dehors on te manque,
La liberté pleure.
Et puis on se laissera,
Si on veut se laisser,
On ne les a jamais laissés
Leurs chaînes sont de sel.
D'un sel qui se dissout
Avec plus de larmes salées,
De ton gémissement et du mien
En face à face quinzaine.

Pour écrire noir sur blanc, que je ne t'abandonnerai pas.
Et pour donner du sang au cri, de ceux qui aiment sans pouvoir aimer.

Pour écrire noir sur blanc, que je ne t'abandonnerai pas.
Et pour donner du sang au cri, de ceux qui aiment sans pouvoir aimer.