Lyrics and translation Melanie Martinez - LEECHES

LEECHES

Leeches surrounded, conscience is throbbing
They can't sleep at night, hold their pillows tight
Caught in the rivers of the tears that I cried
Bountiful harvest, they flock to my garden
Push their way inside, I go run and hide
They lift all the covers, pull me into their sight

Slimy and superficial
Straining their artificial
Yapping to seem official
Making it beneficial to their cause

How much blood can you draw
With your claws from a flesh that's not yours?
My hands aren't yours, and
Gnaw on my bones, no marrow left
To keep you enthralled
I guess that is the luck of the draw

Let all their friends in, the enemy's present
They don't think too hard about your fragile heart
They eat off the table that you set, so you starve
Stop all your breathing, no, don't let them see you
They find any way just to make you stay
Right where they want you, in their piss-covered games

Slimy and superficial
Straining their artificial
Yapping to seem official
Making it beneficial to their cause

How much blood can you draw
With your claws from a flesh that's not yours?
My hands aren't yours, and
Gnaw on my bones, no marrow left
To keep you enthralled
I guess that is the luck of the draw

SANGSUES

Les sangsues t'entourent, ta conscience palpite
Elles ne peuvent pas dormir la nuit, elles serrent leurs oreillers
Prises dans les rivières des larmes que j'ai versées
Récolte abondante, elles affluent vers mon jardin
Elles se frayent un chemin à l'intérieur, je cours et me cache
Elles soulèvent toutes les couvertures, me ramènent à leur vue

Gluantes et superficielles
Forçant leur artificialité
Jappant pour paraître officielles
Rendant cela profitable à leur cause

Combien de sang peux-tu prélever
Avec tes griffes d'une chair qui n'est pas la tienne ?
Mes mains ne sont pas les tiennes, et
Ronge mes os, il ne reste plus de moelle
Pour te tenir captivé
Je suppose que c'est le hasard du tirage au sort

Laisse entrer tous leurs amis, l'ennemi est présent
Elles ne réfléchissent pas trop à ton cœur fragile
Elles mangent à la table que tu as dressée, alors tu meurs de faim
Arrête de respirer, non, ne les laisse pas te voir
Elles trouvent n'importe quel moyen de te faire rester
Exactement où elles te veulent, dans leurs jeux de pipi

Gluantes et superficielles
Forçant leur artificialité
Jappant pour paraître officielles
Rendant cela profitable à leur cause

Combien de sang peux-tu prélever
Avec tes griffes d'une chair qui n'est pas la tienne ?
Mes mains ne sont pas les tiennes, et
Ronge mes os, il ne reste plus de moelle
Pour te tenir captivé
Je suppose que c'est le hasard du tirage au sort