Lyrics and translation Mocedades - Dieron Las Doce

Dieron Las Doce

Dieron las doce en su mirada
Con la alborada yo le dejé
Dieron las doce en su mirada
Con la alborada yo le dejé
El abrazado a su melodía yo a mi silencio pensando en él.
El abrazado a su melodía yo a mi silencio pensando en él.
Era tan grande como su orgullo
Pero pequeño, tierno a la vez.
Yo le temía por su grandeza
Pero adoraba su pequeñez.
Yo le temía por su grandeza
Pero adoraba su pequeñez.
Ese poeta sentado al piano cuerpo encorvado, entré y lo ví
Dice llamarse Ludwing Van Beethoven, dejadlo el solo quiere escribir.
Dice llamarse Ludwing Van Beethoven, dejadlo el solo quiere escribir.
Dieron las doce en su mirada
Dieron las doce en su mirada
Dieron las doce en su mirada
Dieron las doce en su mirada
Dieron las doce en su mirada
Dieron las doce en su mirada

Il était minuit

Il était minuit dans ton regard
Avec l'aube, je t'ai laissé
Il était minuit dans ton regard
Avec l'aube, je t'ai laissé
Embrassé par ta mélodie, moi dans mon silence, pensant à toi.
Embrassé par ta mélodie, moi dans mon silence, pensant à toi.
Il était aussi grand que ton orgueil
Mais petit, tendre à la fois.
Je le craignais pour sa grandeur
Mais j'adorais sa petitesse.
Je le craignais pour sa grandeur
Mais j'adorais sa petitesse.
Ce poète assis au piano, corps voûté, je suis entré et je l'ai vu
Il dit s'appeler Ludwing Van Beethoven, laissez-le, il veut écrire seul.
Il dit s'appeler Ludwing Van Beethoven, laissez-le, il veut écrire seul.
Il était minuit dans ton regard
Il était minuit dans ton regard
Il était minuit dans ton regard
Il était minuit dans ton regard
Il était minuit dans ton regard
Il était minuit dans ton regard