Lyrics and translation OmenXiii - High Res

High Res

When it′s a black night, I feel most alive.
Multiply my fuckin appetite, while I look to the sky.
Smoke a blunt it keep my head right, and I sip my wine.
I know you can feel the butterflies, all up in your spine.

I might drag em round, I might drag you down,
Deep down, through the underground.
I can't let you out, can′t let you in, Leave you inbetween.
Limbo, where you drip slow, leave you with the leaves.
R.I.P.? there's no fuckin peace when you play with me.

Body bag, you a body bag, get my money up.
Leave you red, like a jolly man, tis the season huh?
Smoke a blunt, and I blow the ash, But what's in my cup?
Anything, I sip everything, I don′t give a fuck.

Movin round, on my super bike, swervin super quick.
Ghoulish sounds, wind is screamin loud, I′m not new to this.
Coolin down, when I'm off the mic, turn me to a prince.
Foolish how, peasants runnin up, put them in a ditch.

I see everything, I hear everything
I just wanna live in peace, my mind ain′t lettin me.
My thoughts givin them the creeps but I'm not talkin scary things.
If you want some scary things then we could let them thingies ring.

Take a look inside my catalogue, and trace out everything.
You will never be like me cuz I don′t feel like anything.
Numb personified, my body cannot care bout anything.
I could take my life today, but would that end my suffering?

My endless suffering.

Haute Résolution

Quand c'est une nuit noire, je me sens le plus vivant.
Mon appétit se multiplie, tandis que je regarde le ciel.
J'allume un pétard pour garder la tête droite, et je sirote mon vin.
Je sais que tu peux sentir les papillons, tout le long de ton épine dorsale.

Je pourrais les traîner, je pourrais te traîner,
Au plus profond, à travers le sous-sol.
Je ne peux pas te laisser sortir, je ne peux pas te laisser entrer, Je te laisse entre les deux.
Le purgatoire, où tu goutes lentement, je te laisse avec les feuilles.
R.I.P. ? il n'y a pas de paix quand tu joues avec moi.

Sac mortuaire, tu es un sac mortuaire, prends mon argent.
Je te laisserai rouge, comme un homme joyeux, c'est la saison, hein ?
Je fume un pétard, et je souffle les cendres, mais qu'est-ce qu'il y a dans mon verre ?
N'importe quoi, j'avale tout, je m'en fiche.

Je me déplace, sur ma super moto, en virant très vite.
Des sons lugubres, le vent hurle fort, je ne suis pas nouveau dans ce domaine.
Je me calme, quand je suis hors du micro, tu me transformes en prince.
C'est bête comme les paysans courent vers moi, je les mets dans un fossé.

Je vois tout, j'entends tout.
J'aimerais juste vivre en paix, mon esprit ne me le permet pas.
Mes pensées leur donnent des frissons, mais je ne parle pas de choses effrayantes.
Si tu veux des choses effrayantes, on pourrait les faire sonner.

Jette un coup d'œil à mon catalogue, et retrace tout.
Tu ne seras jamais comme moi, parce que je ne ressens rien.
Engourdi personnifié, mon corps ne se soucie de rien.
Je pourrais me suicider aujourd'hui, mais est-ce que cela mettrait fin à ma souffrance ?

Ma souffrance sans fin.