Lyrics and translation Oskar Linnros - För sent

För sent

Vi gick som självutnämnda kungar genom stan, -nom stan -nom stan, som alltid sov.
Helt seriöst vi borde skaffa likadan, -kadan -kadan tatuering.
Och jag kan se oss stå med handen upp,
Som slå, som slå, som slå, på din trumma slå.
Kunde ha satsat en miljon på oss, på oss, på oss, som tur var var jag pank.
Yeeaah

Vi var så säkra då.
Så säkra att vi glömde vad vi var säkra på.
Det är mycket som man inte vet att man inte vet.
Förr'ns det är för sent.
Förr'ns det är för sent.

Vi visste inte vart vi skulle då, -le då, -le då, så vi kom aldrig dit.
Körde i 180 mot ett stup, mot rött, till slut, vi anade ingenting.
Men jag kan se oss stå med handen upp, som slå, som slå, som slå, på din trumma slå.
Vi fatta aldrig vad dom mena när dom sa, dom sa, ni kommer förstå sen.
Men vi var så säkra då.
Så säkra att vi glömde vad vi var säkra på.
Vi var så säkra då.
Det är mycket som man inte vet att man inte vet.
Förr'ns det är för sent.
Förr'ns det är för sent.
Förr'ns det är för sent.
Förr'ns det är för sent.

Och kanske blåser vi åt fel håll än idag.
Kommer krascha snart.
Det var Murphy's lag.
Och kanske ljuger detta motljus i min lins.
Allt jag vet är att du inte vet nånting.
Nånting, nånting, nånting...
Det är mycket som man inte vet att man inte vet.
Att man inte vet, att man inte vet, att man inte vet.
Förr'ns det är för sent.
Förr'ns det är för sent.
För det är för sent.

Trop tard

On marchait comme des rois autoproclamés à travers la ville, -la ville -la ville, qui dormait toujours.
Sérieusement, on devrait se faire le même, -même -même tatouage.
Et je peux nous voir debout, la main levée,
Comme frapper, comme frapper, comme frapper, sur ton tambour frapper.
J'aurais pu miser un million sur nous, sur nous, sur nous, heureusement j'étais fauché.
Ouais.

On était si sûrs de nous à l'époque.
Si sûrs de nous qu'on a oublié de quoi on était sûrs.
Il y a beaucoup de choses qu'on ne sait pas qu'on ne sait pas.
Jusqu'à ce qu'il soit trop tard.
Jusqu'à ce qu'il soit trop tard.

On ne savait pas où on allait alors, -aller alors, -aller alors, alors on n'y est jamais arrivé.
On roulait à 180 km/h vers le précipice, au feu rouge, à la fin, on ne se doutait de rien.
Mais je peux nous voir debout, la main levée, comme frapper, comme frapper, comme frapper, sur ton tambour frapper.
On n'a jamais compris ce qu'ils voulaient dire quand ils ont dit, ils ont dit, vous comprendrez plus tard.
Mais on était si sûrs de nous à l'époque.
Si sûrs de nous qu'on a oublié de quoi on était sûrs.
On était si sûrs de nous à l'époque.
Il y a beaucoup de choses qu'on ne sait pas qu'on ne sait pas.
Jusqu'à ce qu'il soit trop tard.
Jusqu'à ce qu'il soit trop tard.
Jusqu'à ce qu'il soit trop tard.
Jusqu'à ce qu'il soit trop tard.

Et peut-être qu'on souffle encore dans la mauvaise direction aujourd'hui.
On va s'écraser bientôt.
C'était la loi de Murphy.
Et peut-être que ce contre-jour dans mon objectif ment.
Tout ce que je sais, c'est que tu ne sais rien.
Rien, rien, rien...
Il y a beaucoup de choses qu'on ne sait pas qu'on ne sait pas.
Qu'on ne sait pas, qu'on ne sait pas, qu'on ne sait pas.
Jusqu'à ce qu'il soit trop tard.
Jusqu'à ce qu'il soit trop tard.
Car c'est trop tard.