Lyrics and translation Outkast - Chronomentrophobia

Chronomentrophobia

Chronomentrophobia, the fear of clocks.
The fear of time.

[Verse 1]
How's the cost of living,
I take what I have been givin',
Has to say, be strooong,
Hooo yeahhhhahhh,
I aint' got tiiiime,
Leave me aloone,

[Bridge]
Aint' got much time left,
I've got to funk you now

[Chorus]
Chronomentrophobia [repeat 8x]

[Verse 2]
Lord, please have mercy on my soul,
I have the impression that my life goin' to be a bowl with cherries,
But it's going to be very hard for me to cope,
Tired of being broke,
This ATLian aint' got no time to sit and mope,
Made up my mind while yall made up yo beds,
On a cold wooden floor is where I lie my head,
Born in 1975,
Never thought I would make it this far, I'm still battilin' this racial war,
Tryin' to find solutions of the situation I face,
The only thing that is free is my flow that yall be chasin',
Lettin' my niggas know before I go,
I drop that knowledge like dropping books,
Lets stop the crooks from robbing you from your reins and such,
Using wellfare as a cruch,
Im in it for good,
You into my hood you wont be findin' much,
Hope that when im gone yall remember this,
What we stood for,
Fuck that fame make that glits,
It's begening to look a lot like the ending, got to be more careful,
Know what corners you be benden, revalations is getting impatient,
Now i'm dead,
Remember what I said,
I'm gone,
Bow yo heads

Chronomentrophobie

Chronomentrophobie, la peur des horloges.
La peur du temps.

[Couplet 1]
Comment est le coût de la vie,
J'accepte ce qu'on m'a donné,
Il faut dire, sois forte,
Hooo ouaiiiihhh,
J'ai pas le temps,
Laisse-moi tranquille,

[Pont]
Il ne me reste plus beaucoup de temps,
Je dois te faire vibrer maintenant

[Refrain]
Chronomentrophobie [repeat 8x]

[Couplet 2]
Seigneur, aie pitié de mon âme,
J'ai l'impression que ma vie va être un bol de cerises,
Mais ça va être très difficile pour moi de m'y faire,
Fatigué d'être fauché,
Cet Atlantéen n'a pas le temps de se morfondre,
J'ai pris ma décision pendant que vous faisiez vos lits,
Sur un plancher de bois froid est où je pose ma tête,
Né en 1975,
Je n'aurais jamais pensé arriver aussi loin, je suis toujours en train de combattre cette guerre raciale,
J'essaie de trouver des solutions à la situation à laquelle je suis confronté,
La seule chose qui est gratuite, c'est mon flow que vous poursuivez,
Je fais savoir à mes frères avant de partir,
Je dépose ce savoir comme on dépose des livres,
Arrêtons les voyous de vous voler vos rênes et tout ça,
Utilisant l'aide sociale comme une béquille,
Je suis dedans pour de bon,
Tu entres dans mon quartier, tu ne trouveras pas grand-chose,
J'espère que quand je serai parti, vous vous souviendrez de ça,
Ce pour quoi nous nous battions,
Fous cette gloire, fais briller ça,
Ça commence à ressembler beaucoup à la fin, il faut faire plus attention,
Sachez quels coins vous allez plier, les révélations deviennent impatientes,
Maintenant je suis mort,
Souviens-toi de ce que j'ai dit,
Je suis parti,
Baissez la tête