Lyrics and translation Paul Williams - Dream Away

Dream Away

Dream away child
Let your dreams run wild
Or a lifetime of worries
Might claim you

Dream away child
Let your dreams run wild
Or the years
And the tears shed
Might tame you

For the last time we have
Tasted love's sweet tears
By the fire's glow

If our hearts are strong
There'll be no long
Goodbyes when it's time to go

But the strongest hearts are sometimes broken
As the deepest vows aren't always spoken
And the greatest wounds we hide inside ourselves where they never show

Dream away child
Let your dreams run wild
Or a lifetime of worries
Might claim you

Dream away child
Let your dreams run wild
Or the years
And the tears shed
Might tame you

When the winter weds the northern wind
The child they bear is snow
And the branches bow like worried bridesmaids
But the trees will grow

Sun and earth in time will come together
God will give us back our summer weather
But the memories of that first sweet taste of love
Pass away so slow

Can the wise men count the pointless lies we tell
Or the price we pay
And are songs a place to keep those words of love
That we couldn't say
When there's no room left to live inside ourselves
Do we dream away

Rêve, mon enfant

Rêve, mon enfant
Laisse tes rêves s'envoler
Ou une vie de soucis
Pourrait te réclamer

Rêve, mon enfant
Laisse tes rêves s'envoler
Ou les années
Et les larmes versées
Pourraient te dompter

Pour la dernière fois, nous avons
Gouté aux douces larmes de l'amour
A la lueur du feu

Si nos cœurs sont forts
Il n'y aura pas de longs
Adieux quand il sera temps de partir

Mais les cœurs les plus forts sont parfois brisés
Comme les vœux les plus profonds ne sont pas toujours exprimés
Et les plus grandes blessures que nous cachons à l'intérieur de nous-mêmes où elles ne se montrent jamais

Rêve, mon enfant
Laisse tes rêves s'envoler
Ou une vie de soucis
Pourrait te réclamer

Rêve, mon enfant
Laisse tes rêves s'envoler
Ou les années
Et les larmes versées
Pourraient te dompter

Quand l'hiver épouse le vent du nord
L'enfant qu'ils portent est la neige
Et les branches se courbent comme des demoiselles d'honneur inquiètes
Mais les arbres pousseront

Le soleil et la terre finiront par se retrouver
Dieu nous rendra notre été
Mais les souvenirs de ce premier goût sucré de l'amour
S'éteignent si lentement

Les sages peuvent-ils compter les mensonges inutiles que nous disons
Ou le prix que nous payons
Et les chansons sont-elles un endroit pour garder ces mots d'amour
Que nous ne pouvions pas dire
Quand il n'y a plus de place pour vivre à l'intérieur de nous-mêmes
Rêvons-nous loin