Lyrics and translation Pereza - Contento Por Nada

Contento Por Nada

Hacía tanto que no estaba contento por nada,
Hacía tanto que no tenía, ganas de escribir,
La vida no es buena ni mala,
Preparo un café, ordeno papeles,
Ideas tranquilas me vienen,
Demoro en el baño, fumo un cigarro,
Suena el mobil.
Leo un libro olvidado, escucho una radio desde el patio,
Miro al espejo, me veo más viejo
Pero de cuerpo entero!

Y hacía tanto que no estaba contento por nada
Mientras la tarde pasa suave aquí,
Y pongo un disco de vinilo,
Luego lo pongo en CD y para siempre decido
Que el surco es lo mío y que el otro tan solo
Suena muy bien.

Resuelvo conflictos conmigo mismo,
Si hubiera dicho ya da igual,
El pasado a mi royo lo pinto
Y donde palmaba mi caja chaval
Cruza una moto por mi calle,
Las vecinas hablan en el portal.
No hay perro que me ladre esta tarde,
Y a ver si llevo del coche a la var

Y hacía tanto que no estaba contento por nada
Mientras la tarde pasa suave aquí,
Reconozco que por un momento lo veo venir
Pararapapa
Me cago en tus muertos!
Poniendome extraño
Me acuerdo de tí

Y hacía tanto que no estaba contento por nada
Mientras la tarde pasaba suave ...
Y hacía tanto que no estaba contento por nada
Mientras la tarde pasa suave aquí,
Reconozco que por un momento lo veo venir
Pararapapa
Me cago en tus muertos!
Poniendome serio
Me acuerdo de tí.

Content Pour Rien

Il y a si longtemps que je n'étais pas content de rien,
Il y a si longtemps que je n'avais pas envie d'écrire,
La vie n'est ni bonne ni mauvaise,
Je prépare un café, je range des papiers,
Des idées tranquilles me viennent,
Je traîne dans la salle de bain, je fume une cigarette,
Le téléphone sonne.
Je lis un livre oublié, j'écoute la radio depuis la cour,
Je regarde dans le miroir, je me vois plus vieux
Mais en pied!

Et il y a si longtemps que je n'étais pas content de rien
Pendant que l'après-midi passe doucement ici,
Et je mets un disque vinyle,
Puis je le mets sur CD et pour toujours je décide
Que le sillon est pour moi et que l'autre juste
Sonne très bien.

Je résous des conflits avec moi-même,
Si j'avais déjà dit c'est égal,
Le passé à mon truc je le peins
Et là où je palpais ma boîte gamin
Une moto traverse ma rue,
Les voisines parlent dans l'entrée.
Il n'y a pas de chien qui m'aboie cet après-midi,
Et on va voir si je ramène la voiture au bar

Et il y a si longtemps que je n'étais pas content de rien
Pendant que l'après-midi passe doucement ici,
Je reconnais que pour un instant je le vois venir
Pararapapa
Je me fiche de ta mort!
En me mettant bizarre
Je me souviens de toi

Et il y a si longtemps que je n'étais pas content de rien
Pendant que l'après-midi passait doucement ...
Et il y a si longtemps que je n'étais pas content de rien
Pendant que l'après-midi passe doucement ici,
Je reconnais que pour un instant je le vois venir
Pararapapa
Je me fiche de ta mort!
En me mettant sérieux
Je me souviens de toi.