Peteco Carabajal - Volvió una noche - translation of the lyrics into French

Lyrics and translation Peteco Carabajal - Volvió una noche




Volvió una noche
Une nuit est revenue
Volvió una noche, no la esperaba
Une nuit est revenue, je ne l'attendais pas
Había en su rostro tanta ansiedad
Il y avait tant d'angoisse sur son visage
Que tuve pena de recordarle
Que j'ai eu pitié de lui rappeler
Su felonía y su crueldad
Sa trahison et sa cruauté
Me dijo, humilde: "si me perdonas
Il m'a dit, humblement : "Si tu me pardonnes
El tiempo viejo otra vez vendrá
Le temps passé reviendra
La primavera de nuestras vidas
Le printemps de nos vies
Verás que todo nos sonreirá"
Tu verras que tout nous sourira"
"Mentira, mentira", yo quise decirle
"Mensonge, mensonge", j'ai voulu lui dire
"Las horas que pasan ya no vuelven más"
"Les heures qui passent ne reviennent plus"
Y así mi cariño, al tuyo enlazado
Et ainsi mon amour, lié au tien
Es solo un fantasma del viejo pasado
N'est qu'un fantôme du passé
Que ya no se puede resucitar
Qui ne peut plus ressusciter
Callé mi amargura y tuve piedad
J'ai tu mon amertume et j'ai eu pitié
Sus ojos azules muy grandes se abrieron
Ses yeux bleus très grands se sont ouverts
Mi pena inaudita pronto comprendieron
Mon chagrin inouï ils ont vite compris
Y con una mueca de mujer vencida
Et avec une grimace de femme vaincue
Me dijo: "es la vida", y no la vi más
Il m'a dit : "C'est la vie", et je ne l'ai plus revu
Volvió una noche, nunca la olvido
Une nuit est revenue, je ne l'oublie jamais
Con la mirada triste y sin luz
Avec un regard triste et sans lumière
Y tuve miedo de aquel espectro
Et j'ai eu peur de ce spectre
Que fue locura en mi juventud
Qui était folie dans ma jeunesse
Se fue en silencio, sin un reproche
Il est parti en silence, sans reproche
Busqué un espejo y me quise mirar
J'ai cherché un miroir et j'ai voulu me regarder
Había en mi frente tantos inviernos
Il y avait tant d'hivers sur mon front
Que también ella tuvo piedad
Qu'elle aussi a eu pitié
"Mentira, mentira", yo quise decirle
"Mensonge, mensonge", j'ai voulu lui dire
"Las horas que pasan ya no vuelven más"
"Les heures qui passent ne reviennent plus"
Y así mi cariño, al tuyo enlazado
Et ainsi mon amour, lié au tien
Es solo un fantasma del viejo pasado
N'est qu'un fantôme du passé
Que ya no se puede resucitar
Qui ne peut plus ressusciter
Callé mi amargura y tuve piedad
J'ai tu mon amertume et j'ai eu pitié
Sus ojos azules muy grandes se abrieron
Ses yeux bleus très grands se sont ouverts
Mi pena inaudita pronto comprendieron
Mon chagrin inouï ils ont vite compris
Y con una mueca de mujer vencida
Et avec une grimace de femme vaincue
Me dijo: "es la vida", y no la vi más
Il m'a dit : "C'est la vie", et je ne l'ai plus revu





Writer(s): Carlos Gardel, Alfredo Lepera


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