Zivot
tako
neumitno
tecebijeli
jasmin
privijam
na
gru'i
na
mlati
skoro
svake
vece
mile
mi
se
uspomene
bude
kad
su
prosla
ta
vremena
burna
kad
sam
zene
volio
ko
ludvolio
sam
garavu
i
plavuali
jedna
od
njih
odsjece
mi
ud
o
mladosti,
o
mladostizasto
smo
se
rastalizivot
cini
neobicne
starisvaki
covjek
mora
da
ostari
o
mladosti,
o
mladostizasto
smo
se
rastalizivot
cini
neobicne
starisvaki
covjek
mora
da
ostari
u
zivotu
tako
stoje
stvarisamo
jedan
tren
i
tu
je
krajsvaki
covjek
mora
da
ostaris
udom
il
bez
njega
ista
stvar
a
u
basti
punoj
jorgovanasjedio
sam
dokasno
u
nocu
uniformi
starog
kapetanasve
se
mislim
vrijeme
mi
je
poc
o
mladosti,
o
mladostizasto
smo
se
rastalizivot
cini
neobicne
starisvaki
covjek
mora
da
ostari
o
mladosti,
o
mladostizasto
smo
se
rastalizivot
cini
neobicne
starisvaki
covjek
mora
da
ostari
La
vie
passe
si
impitoyablement,
je
serre
un
jasmin
blanc
contre
ma
poitrine,
je
me
souviens
presque
chaque
soir,
de
doux
souvenirs
me
reviennent,
quand
ces
temps
tumultueux
sont
passés,
quand
j'ai
aimé
les
femmes
comme
un
fou,
j'ai
aimé
les
brunes
et
les
blondes,
l'une
d'elles
m'a
brisé
le
cœur,
sur
la
jeunesse,
sur
la
jeunesse,
pourquoi
nous
sommes-nous
séparés,
la
vie
semble
étrangement
vieille,
chaque
homme
doit
vieillir,
sur
la
jeunesse,
sur
la
jeunesse,
pourquoi
nous
sommes-nous
séparés,
la
vie
semble
étrangement
vieille,
chaque
homme
doit
vieillir,
dans
la
vie,
les
choses
sont
ainsi,
un
seul
instant
et
c'est
fini,
chaque
homme
doit
vieillir,
chez
soi
ou
sans
elle,
c'est
la
même
chose,
et
dans
le
jardin
plein
de
lilas,
je
suis
resté
assis
tard
dans
la
nuit,
en
uniforme
de
vieux
capitaine,
je
pense
que
mon
temps
est
venu,
sur
la
jeunesse,
sur
la
jeunesse,
pourquoi
nous
sommes-nous
séparés,
la
vie
semble
étrangement
vieille,
chaque
homme
doit
vieillir,
sur
la
jeunesse,
sur
la
jeunesse,
pourquoi
nous
sommes-nous
séparés,
la
vie
semble
étrangement
vieille,
chaque
homme
doit
vieillir