Et pour chaque doute, nous avons nommé des papes
?
Was denn noch?
Qu'est-ce qu'il reste encore
?
Wir haben die Bombe der Bomben gebautihre Herrlichkeit in Nagasaki geschautwir plündern die Erdewir schlagen sie kahlkippen Öl in die Wunden, uns ist alles egalwir fliegen der Sonne direkt ins Gesichtnach uns die Sintflutund wir fallen ins nichts...
Nous avons construit la bombe des bombes, nous avons regardé sa splendeur à Nagasaki, nous pillons la terre, nous la rendons nue, nous versons du pétrole sur les plaies, tout nous est égal, nous volons directement vers le soleil, après nous le déluge, et nous tombons dans le néant...
Wir vergiften das Wasser, wir verpesten die Luftschneeweiße Westen sind unsere Kluftwir spalten Atome für die Energiedoch haben noch nicht mal den Hunger besiegtwir fliegen der Sonne direkt ins Gesichtnach uns die Sintflutund wir fallen ins Nichts...
Nous empoisonnons l'eau, nous polluons l'air, le blanc occidental est notre fossé, nous fissons les atomes pour l'énergie, mais nous n'avons même pas vaincu la faim, nous volons directement vers le soleil, après nous le déluge, et nous tombons dans le néant...
Wir verbreiten um uns nur Wahnsinn und Todund nicht mal die eigenen Kinder bleiben verschontder Preis aller Dinge ist uns wohl bekanntdoch der Wert geht weit, weit, weit über unseren VerstandUnd darum kommt auch, was zwangsläufig kommen mußwir ertrinken im eigenen ÜberflußDu mußt kein Prophet seines steht sowieso festder Mensch verschwindet todsicherwenn man ihn einfach machen läßtin wessen Hände Du immerdie Zukunft auch legstdas Leben bahnt sich seinen eigenen Wegeine Blume findet immerirgendwo einen Spaltund wenn nichtdann bricht sie einfachdurch den AsphaltHaben wir nicht das Feuer geholt?
Nous ne répandons autour de nous que folie et mort, et même nos propres enfants ne sont pas épargnés, le prix de toutes choses nous est bien connu, mais la valeur va bien, bien, bien au-delà de notre compréhension, et c'est pourquoi arrive ce qui doit arriver inévitablement, nous nous noyons dans notre propre excès, tu n'as pas besoin d'être un prophète, c'est une certitude, l'homme disparaîtra à coup sûr si on le laisse faire, entre quelles mains que ce soit, la future que tu places, la vie se fraye son propre chemin, une fleur trouve toujours un endroit pour pousser, et sinon, elle perce simplement l'asphalte. N'avons-nous pas pris le feu
?