Geh
madl
stel
di
net
so
an,
du
waßt
ganz
genau
wir
zwa
san
net
zum
fernsehn
da.
Geh
bitte
gar
schön
drah
kan
film,
um
gottes
willn.
I
wü
mit
dir
net
Koatn
spün.
Zerst
in
der
Diskothek
da
hab
I
dir
no
gfalln,
dann
hob
i
dürfn
zohln,
sag
amoi
wüst
mi
rolln,
du
schnalln.
Glaubst
du
du
bist
so
sche
du
schiache
praterfee
zerst
sagst
du
stehtst
auf
mi,
jetzt
solln
nix
eine
gehn
du
weh.
Ma
chérie,
arrête
de
t'énerver,
tu
sais
très
bien
que
nous
deux,
on
n'est
pas
là
pour
la
télé.
S'il
te
plaît,
arrête
de
faire
ce
cinéma,
pour
l'amour
de
Dieu.
Je
ne
veux
pas
jouer
au
poker
avec
toi.
Avant,
dans
la
discothèque,
j'aimais
bien,
ensuite
j'ai
dû
payer,
dis-moi,
est-ce
que
tu
veux
me
rouler
dans
la
farine,
tu
piges
? Tu
crois
que
tu
es
une
fée
du
Prater
tellement
belle,
d'abord
tu
dis
que
tu
me
trouves
bien,
maintenant
tu
ne
veux
plus
rien
avoir
à
faire
avec
moi,
tu
es
méchante.
GEh
bitte
madl
sei
do
gscheit,
pfeif
auf
die
Leit,
dir
schadst
auf
kan
fall
und
mir
machst
a
freid,
geh
hör
ma
auf
mit
deine
Schmäh,
die
kenn
ma
eh,
mit
denen
kannst
dich
barusen
gehn.
Na
du
brauchst
ma
nix
erklären,
I
wü
nix
hörn,
geh
ham
und
hob
mir
gern.
S'il
te
plaît,
ma
chérie,
sois
raisonnable,
fiche
les
autres,
tu
ne
te
fais
pas
de
mal,
et
tu
me
fais
plaisir,
arrête
avec
tes
blagues,
on
les
connaît
déjà,
avec
ça
tu
peux
aller
te
promener.
Mais
non,
tu
n'as
pas
besoin
de
m'expliquer,
je
ne
veux
rien
entendre,
rentre
chez
toi
et
laisse-moi
tranquille.