La primera fue la cara puse la otra mejia cuando la inocencia calla el mundo chilla la compasión no miro ni por la mirilla
La première, c'était le visage, j'ai tendu l'autre joue quand l'innocence se tait, le monde hurle, la compassion, je ne la vois même pas par le judas.
Cuando vi a mi abuela postrada con la piel amarilla a la segunda llame pero nadie respondió no
Quand j'ai vu ma grand-mère alitée, la peau jaune, j'ai frappé à la deuxième, mais personne n'a répondu, non.
Vi que el silencio se hizo tras de ella ahi mi tio se encontro a su mujer siendo infiel ahi mi tio se perdio jugando a la botella
J'ai vu que le silence s'était installé derrière elle, là, mon oncle a surpris sa femme en train de le tromper, là, mon oncle s'est perdu à jouer à la bouteille.
La tercera lo mismo al poco tiempo cerrada por dentro con mis abuelos llorando a pleno pulmon tanto
La troisième, pareil, peu de temps après, fermée de l'intérieur, avec mes grands-parents qui pleuraient à chaudes larmes, tellement
Que el perdio el aliento y ella al suyo le dio
Qu'il en a perdu le souffle et qu'elle lui a donné le sien.
Y a la cuarta meti el ojo por la cerradura pero el tiempo pone al corazon cerrojos
Et à la quatrième, j'ai mis l'œil au judas, mais le temps met des cadenas au cœur.
Y mi padrino salio como a la amargura donde no entro la fortuna
Et mon parrain est sorti comme à l'amertume, là où la fortune n'est pas entrée,
Pero caben mil sollosos
Mais où mille sanglots peuvent tenir.
Puertas, puertas que se abren y se cierran
Portes, portes qui s'ouvrent et se ferment,
De par en par de acaricanto entornadas entre abiertas
Grandes ouvertes, entrouvertes, à demi-ouvertes.
Puertas, puertas que se abren y se cierran
Portes, portes qui s'ouvrent et se ferment,
Bajo tierra bajo mi ave dire quien entra dire quien sale
Sous terre, sous mon aile, je dirai qui entre, je dirai qui sort.
Llegue a la quinta y la cerre con presinto al que no fue
Je suis arrivé à la cinquième et je l'ai fermée avec un sceau pour celui qui n'était pas
Trigo limpio superando el trago coji distancia lejos de caretas la misma que la letra que separa al migo del amago
Du blé propre, surmontant le coup dur, j'ai pris mes distances, loin des faux-semblants, la même que la lettre qui sépare l'ami de l'adulation.
En la siguiente encerre a la serpiente y a las sirenas a las mujeres fuentes y pasajeras
Dans la suivante, j'ai enfermé le serpent et les sirènes, les femmes fontaines et passagères,
Para ser sinceramente francos
Pour être sincèrement francs.
Pero quede un paso al frente pasen de largos para ser quien era
Mais je suis resté un pas en avant, passez votre chemin pour que je sois qui j'étais.
En la séptima me pille los dedos poniendo la mano en el fuego
À la septième, je me suis brûlé les doigts en mettant la main au feu,
Por que nacio la nieve en ese cebo mundo placebo sueños de placo que se tornaron en su señuelo
Parce que la neige est née dans cet appât, un monde placebo, des rêves en placo qui se sont transformés en leur leurre.
Y por la octava ya nadie sale el amor todo lo puede pero en el no todo vale
Et par la huitième, plus personne ne sort, l'amour peut tout, mais en lui, tout ne vaut pas la peine.
Nunca decifre esa clave no se puede pretender abrir todas las puertas con la misma llave
Je n'ai jamais déchiffré cette clé, on ne peut pas prétendre ouvrir toutes les portes avec la même clé.
Puertas, puertas que se abren y se cierran
Portes, portes qui s'ouvrent et se ferment,
De par en par acaricanto entornadas entre abiertas
Grandes ouvertes, entrouvertes, à demi-ouvertes.
Puertas, puertas que se abren y se cierran
Portes, portes qui s'ouvrent et se ferment,
Bajo tierra bajo mi ave dire quien entra quien sale
Sous terre, sous mon aile, je dirai qui entre, qui sort.
La novena tire abajo la de buscate un trabajo un empleo algo fijo y nos dice tener gajo de la media naranja
La neuvième, j'ai fait tomber celle de "trouve-toi un travail, un emploi, quelque chose de stable", et on nous dit d'avoir une part de l'orange,
Que para encajar paso cosiente medie de ajo
Que pour m'intégrer, il fallait que je sois à moitié ail.
La decima la pinte en la pared cuando no existia solo fui la oveja que no contaba sueño a lo laurijes asi que cerdo menos lobos
La dixième, je l'ai peinte sur le mur quand elle n'existait pas, je n'étais que le mouton qui ne comptait pas pour les loups, alors moins de cochons.
La penultima era de quiten y pon como del perjuicio del entrevistador que no paraba de preguntar
L'avant-dernière était interchangeable, comme le préjugé du recruteur qui n'arrêtait pas de demander
Que si podia vivir del rap le callas diciendo que vivia por
Si je pouvais vivre du rap, tu te tais en disant que tu vivais pour
Y de la ultima hice otro juego de llaves con una frase en el llavero
Et de la dernière, j'ai fait un autre jeu de clés avec une phrase sur le porte-clés
:
Diego no la pierdas ni las uses para cerrar libertades firma tu padre por cerca te quiero
"Diego, ne les perds pas et ne les utilise pas pour enfermer les libertés, signé ton père, même de loin, je t'aime."
Puertas puertas que se abren y se cierran
Portes, portes qui s'ouvrent et se ferment,
A la tristeza puerta a la soledad puerta a las falsas amistades puerta
À la tristesse, porte à la solitude, porte aux fausses amitiés, porte
A la nostalgia y lumbalgia en aguantar la pesada carga del pasado puerta
À la nostalgie et à la lombalgie de supporter le lourd fardeau du passé, porte
Al roseno puerta a la envidia puerta puerta
Au ressentiment, porte à l'envie, porte, porte
A casi todos puertas
À presque tous, des portes.
A casi todos puertas
À presque tous, des portes.
Tengo una llame maestra
J'ai une clé maîtresse.
Puertas, puertas que se abren y se cierran
Portes, portes qui s'ouvrent et se ferment,
De par en par acaricanto entornadas entre abiertas
Grandes ouvertes, entrouvertes, à demi-ouvertes.
Puertas, puertas que se abren y se cierran
Portes, portes qui s'ouvrent et se ferment,
Bajo tierra bajo mi ave dire quien entra dire quien sale.
Sous terre, sous mon aile, je dirai qui entre, je dirai qui sort.