Lyrics and translation Richard Campbell - The Spark of Life (Live)

The Spark of Life (Live)

The leaves of the year had long ago withered
When my work drew to a close
The energy of my purpose alone had sustained me
Now I beheld the accomplishment of my toils
With an anxiety that felt like agony
I collected the instruments of life around me
That I might infuse a spark of being
Into the lifeless thing that lay at my feet
It was already one in the morning
The rain pounded against the panes
And my candle was nearly burnt out
When by the glimmer of the half-extinguished light
The magnificent creature I'd salvaged from death
Convulsed and contorted and gasped its first breath
In that instant the beauty of my dream twisted into a nightmare
Two years of devotion turning to revulsion
Was more than I could bear
I'd been blinded by the grandiosity of my intentions
Now as if for the first time I witnessed the atrocity wrought by my hands
Its yellow skin
Barely covering the muscles beneath
Its straight black lips and pure white teeth
Had been grotesque when they were incomplete
But now those limbs were rendered in motion
The demon became something else
A beast even Dante could not have conceived
And its eyes were fixed on me
While a monstrous grin wrinkled its cheeks
It stumbled forward
I froze in fear
It might have spoken
But I did not hear
Then as its hand stretched out I found my feet
I slipped from its grasp and took flight into the streets
My heart was pounding in my chest
The beast was all that I could think of
Its image filled the darkness of the night
The rain was pouring from a black and comfortless sky
As I descended into paranoia
Like one who on a lonely road
Doth walk in fear and dread
And having once turned round walks on
And turns no more his head
Because he knows a frightful fiend
Doth close behind him tread
I roamed alone

L'étincelle de la vie (en direct)

Les feuilles de l'année étaient fanées depuis longtemps
Lorsque mon travail a pris fin
L'énergie de mon but m'avait seule soutenu
Maintenant, j'observais l'accomplissement de mes travaux
Avec une anxiété qui ressemblait à une agonie
J'ai rassemblé autour de moi les instruments de la vie
Afin d'infuser une étincelle d'être
Dans la chose sans vie qui gisait à mes pieds
Il était déjà une heure du matin
La pluie battait contre les vitres
Et ma bougie était presque brûlée
Quand, à la lueur de la lumière à moitié éteinte
La magnifique créature que j'avais sauvée de la mort
S'est convulsée, s'est contorsionnée et a haleté sa première respiration
En cet instant, la beauté de mon rêve s'est transformée en cauchemar
Deux années de dévouement se transformant en répulsion
C'était plus que je ne pouvais supporter
J'avais été aveuglé par la grandeur de mes intentions
Maintenant, comme pour la première fois, j'ai été témoin de l'atrocité commise par mes mains
Sa peau jaune
À peine recouvrant les muscles en dessous
Ses lèvres noires droites et ses dents blanches pures
Étaient grotesques lorsqu'elles étaient incomplètes
Mais maintenant, ces membres étaient rendus en mouvement
Le démon est devenu quelque chose d'autre
Une bête que même Dante n'aurait pas pu concevoir
Et ses yeux étaient fixés sur moi
Alors qu'un sourire monstrueux plissait ses joues
Il a titubé en avant
J'ai gelé de peur
Il aurait pu parler
Mais je n'ai pas entendu
Puis, alors que sa main s'étendait, j'ai trouvé mes pieds
Je me suis glissé hors de son étreinte et j'ai pris la fuite dans les rues
Mon cœur battait dans ma poitrine
La bête était tout à quoi je pouvais penser
Son image remplissait les ténèbres de la nuit
La pluie tombait d'un ciel noir et sans réconfort
Alors que je sombrais dans la paranoïa
Comme celui qui, sur un chemin solitaire
Marche dans la peur et la terreur
Et après s'être retourné, continue
Et ne tourne plus la tête
Parce qu'il sait qu'un démon effrayant
Le suit de près
J'ai erré seul