Lyrics and translation Roberto Grela, Adriana Varela & Juanjo Dominguez - Las cuarenta - ed. by J. Dominguez
Las cuarenta - ed. by J. Dominguez
Les quarante - éd. par J. Dominguez
Con
el
pucho
de
la
vida
apretado
entre
los
labios,
.
Avec
la
cigarette
de
la
vie
serrée
entre
mes
lèvres,
.
La
mirada
turbia
y
fría,
un
poco
lerdo
el
andar,
Le
regard
trouble
et
froid,
un
peu
lent
à
marcher,
Dobló
la
esquina
del
barrio
y,
curda
ya
de
recuerdos,
J'ai
tourné
le
coin
du
quartier
et,
saoule
de
souvenirs,
Como
volcando
un
veneno
esto
se
le
oyó
acusar.
Comme
si
je
déversais
du
poison,
j'ai
entendu
ça
m'accuser.
Vieja
calle
de
mi
barrio
donde
he
dado
el
primor
paso,
Vieille
rue
de
mon
quartier
où
j'ai
fait
mon
premier
pas,
Vuelvo
a
vos,
gastado
el
mazo
en
inútil
barajar,
Je
reviens
à
toi,
le
marteau
usé
dans
un
inutile
battement
de
cartes,
Con
una
llaga
en
el
pecho,
con
mi
sueño
hecho
pedazos,
Avec
une
plaie
au
cœur,
mon
rêve
brisé
en
morceaux,
Que
se
rompió
en
un
abrazo
que
me
diera
la
verdad.
Qui
s'est
brisé
dans
une
étreinte
que
la
vérité
m'a
donnée.
Aprendí
todo
lo
bueno,
aprendí
todo
lo
malo,
J'ai
appris
tout
ce
qu'il
y
a
de
bon,
j'ai
appris
tout
ce
qu'il
y
a
de
mauvais,
Sé
del
beso
que
se
compra,
sé
del
beso
que
se
da;
Je
connais
le
baiser
qu'on
achète,
je
connais
le
baiser
qu'on
donne
;
Del
amigo
que
es
amigo
siempre
y
cuando
le
convenga,
L'ami
qui
est
un
ami
tant
qu'il
en
a
envie,
Y
sé
que
con
mucha
plata
uno
vale
mucho
más.
Et
je
sais
qu'avec
beaucoup
d'argent,
on
vaut
beaucoup
plus.
Aprendí
que
en
esta
vida
hay
que
llorar
si
otros
lloran
J'ai
appris
que
dans
cette
vie,
il
faut
pleurer
si
les
autres
pleurent
Y,
si
la
murga
se
ríe,
uno
se
debe
reír;
Et,
si
la
fanfare
rit,
il
faut
rire
;
No
pensar
ni
equivocado.
Para
qué,
si
igual
se
vive!
Ne
pas
penser,
même
mal.
À
quoi
bon,
on
vit
quand
même
!
Y
además
corrés
el
riesgo
de
que
te
bauticen
gil!
Et
en
plus,
tu
risques
d'être
baptisé
crétin !
La
vez
que
quise
ser
bueno
en
la
cara
se
me
rieron;
La
fois
où
j'ai
voulu
être
bon,
on
s'est
moqué
de
moi
en
face
;
Cuando
grité
una
injusticia,
la
fuerza
me
hizo
callar;
Quand
j'ai
crié
à
l'injustice,
la
force
m'a
fait
taire
;
La
experiencia
fue
mi
amante;
el
desengaño,
mi
amigo.
L'expérience
a
été
mon
amant
; le
désenchantement,
mon
ami.
Toda
carta
tiene
contra
y
toda
contra
se
da!
Toute
carte
a
ses
désavantages,
et
tout
désavantage
se
donne !
Hoy
no
creo
ni
en
mí
mismo.
Todo
es
grupo,
todo
es
falso,
Aujourd'hui,
je
ne
crois
même
plus
en
moi.
Tout
est
un
groupe,
tout
est
faux,
Y
aquél,
el
que
está
más
alto,
es
igual
a
los
demás.
Et
celui
qui
est
le
plus
haut
est
le
même
que
les
autres.
Por
eso,
no
has
de
extrañarte
si,
alguna
noche,
borracho,
Alors,
ne
t'étonne
pas
si,
un
soir,
ivre,
Me
vieras
pasar
del
brazo
con
quien
no
debo
pasar.
Tu
me
vois
passer
au
bras
de
quelqu'un
avec
qui
je
ne
devrais
pas
passer.
Aprendí
todo
lo
bueno,
aprendí
todo
lo
malo,
J'ai
appris
tout
ce
qu'il
y
a
de
bon,
j'ai
appris
tout
ce
qu'il
y
a
de
mauvais,
Sé
del
beso
que
se
compra,
sé
del
beso
que
se
da;
Je
connais
le
baiser
qu'on
achète,
je
connais
le
baiser
qu'on
donne
;
Del
amigo
que
es
amigo
siempre
y
cuando
le
convenga,
L'ami
qui
est
un
ami
tant
qu'il
en
a
envie,
Y
sé
que
con
mucha
plata
uno
vale
mucho
más.
Et
je
sais
qu'avec
beaucoup
d'argent,
on
vaut
beaucoup
plus.
Aprendí
que
en
esta
vida
hay
que
llorar
si
otros
lloran
J'ai
appris
que
dans
cette
vie,
il
faut
pleurer
si
les
autres
pleurent
Y,
si
la
murga
se
ríe,
uno
se
debe
reír;
Et,
si
la
fanfare
rit,
il
faut
rire
;
No
pensar
ni
equivocado.
Para
qué,
si
igual
se
vive!
Ne
pas
penser,
même
mal.
À
quoi
bon,
on
vit
quand
même
!
Y
además
corrés
el
riesgo
de
que
te
bauticen
gil!
Et
en
plus,
tu
risques
d'être
baptisé
crétin !
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Writer(s): Roberto Grela, F. Govindo
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