Lyrics and translation Ronald Borjas - De Nada Vale

De Nada Vale

De nada vale que yo
Te deje rastos de mi
Si el viento no esta a mi favor
De nada vale que yo
Siga esperando por ti
Si el invierno ya se acabo
Estar atado a recordarte es un temor
Que toma riendas de mis ganas
Y mi voz

De nada vale que yo... de nada vale que yo
"Le deje casa a mis motivos"
De nada vale que yo... de nada vale que yo
"Para llegar a ti conozca el camino"
Si tus manos ya no estan abiertas
Y tu corazon me tumba a la derecha

Cuando me ve venir

De nada vale que este
Siempre pensando en ti
Si nada escucho de tu voz
De nada vale que yo
Siga pensando en ti
Si el invierno ya se acabo
Estar atado a recordarte es un temor

Que toma riendas de mis ganas
Y mi voz uohh.

De nada vale que yo... de nada vale que yo
"Le deje casa a mis motivos"
De nada vale que yo... de nada vale que yo
"Para llegar a ti conozca el camino"
Si tus manos ya no estan abiertas
Y tu corazon me tumba a la derecha
Cuando me ve venir...

De Nada Vale

Cela ne sert à rien que je
Te laisse des traces de moi
Si le vent n'est pas en ma faveur
Cela ne sert à rien que je
Continue à attendre pour toi
Si l'hiver est déjà terminé
Être lié au souvenir de toi est une peur
Qui prend les rênes de mes envies
Et ma voix

Cela ne sert à rien que je... cela ne sert à rien que je
"Laisse un foyer à mes motifs"
Cela ne sert à rien que je... cela ne sert à rien que je
"Pour te rejoindre, je connais le chemin"
Si tes mains ne sont plus ouvertes
Et ton cœur me renverse à droite

Quand tu me vois venir

Cela ne sert à rien que je sois
Toujours à penser à toi
Si je n'entends rien de ta voix
Cela ne sert à rien que je
Continue à penser à toi
Si l'hiver est déjà terminé
Être lié au souvenir de toi est une peur

Qui prend les rênes de mes envies
Et ma voix oh.

Cela ne sert à rien que je... cela ne sert à rien que je
"Laisse un foyer à mes motifs"
Cela ne sert à rien que je... cela ne sert à rien que je
"Pour te rejoindre, je connais le chemin"
Si tes mains ne sont plus ouvertes
Et ton cœur me renverse à droite
Quand tu me vois venir...