Lyrics and translation Rush - Red Barchetta - Live in Cleveland

Red Barchetta - Live in Cleveland

My uncle has a country place
That no one knows about
He says it used to be a farm
Before the Motor Law
And on Sundays I elude the eyes
And hop the Turbine Freight
To far outside the Wire
Where my white-haired uncle waits
Jump to the ground
As the Turbo slows to cross the borderline
Run like the wind
As excitement shivers up and down my spine
Down in his barn
My uncle preserved for me an old machine
For fifty odd years
To keep it as new has been his dearest dream
I strip away the old debris
That hides a shining car
A brilliant red Barchetta
From a better vanished time
I fire up the willing engine
Responding with a roar
Tires spitting gravel
I commit my weekly crime
Wind
In my hair
Shifting and drifting
Mechanical music
Adrenaline surge...
Well-weathered leather
Hot metal and oil
The scented country air
Sunlight on chrome
The blur of the landscape
Every nerve aware
Suddenly ahead of me
Across the mountainside
A gleaming alloy air car
Shoots towards me, two lanes wide
I spin around with shrieking tires
To run the deadly race
Go screaming through the valley
As another joins the chase
Drive like the wind
Straining the limits of machine and man
Laughing out loud with fear and hope
I've got a desperate plan
At the one-lane bridge
I leave the giants stranded at the riverside
Race back to the farm
To dream with my uncle at the fireside

Red Barchetta - En direct à Cleveland

Mon oncle a une maison de campagne
Que personne ne connaît
Il dit qu'elle était une ferme
Avant la loi des moteurs
Et le dimanche, j'échappe aux regards
Et je saute dans le Turbine Freight
Loin derrière le mur
Où mon oncle aux cheveux blancs m'attend
Je saute à terre
Alors que le Turbo ralentit pour franchir la frontière
Je cours comme le vent
Alors que l'excitation me parcourt le corps
En bas dans sa grange
Mon oncle m'a conservé une vieille machine
Pendant une cinquantaine d'années
La garder comme neuve a été son rêve le plus cher
Je retire les vieux débris
Qui cachent une voiture étincelante
Une brillante Barchetta rouge
D'un temps passé meilleur
Je lance le moteur docile
Qui répond avec un rugissement
Les pneus crachant du gravier
Je commets mon crime hebdomadaire
Vent
Dans mes cheveux
Vitesses en cascade et glissades
Musique mécanique
Montée d'adrénaline...
Cuir patiné par le temps
Métal chaud et huile
L'air parfumé de la campagne
Lumière du soleil sur le chrome
Le flou du paysage
Chaque nerf éveillé
Soudain devant moi
De l'autre côté de la montagne
Une aéromobile en alliage étincelante
Fonce vers moi, deux voies de large
Je fais demi-tour avec des pneus qui hurlent
Pour courir la course mortelle
Foncer dans la vallée
Comme une autre se joint à la chasse
Conduire comme le vent
Repousser les limites de la machine et de l'homme
Rire à haute voix de peur et d'espoir
J'ai un plan désespéré
Au pont à une voie
Je laisse les géants échoués au bord de la rivière
Je fais demi-tour vers la ferme
Pour rêver avec mon oncle au coin du feu