I
tako
kazu,
samo
budale
i
konji
znaju,
psi
pricaju,
ljudi
laju,
svi
snivaju
mi
budni
po
kraju,
na
kraju
se
glupani
kaju,
novine
gotivne,
ove
godine
godi
da
te
gotive,
ti
kazes
sta
volis,
sta
mislis
da
mislis
sve
znaju,
ove
godine
je
hladno
u
kraju,
greje
zelja
da
mislim
o
dobrom,
Djordje,
pisi
ovo,
imas
ljude
da
sa
njima
visis,
ponovo
nema
idola,
smaknuti
su
lovom,
a
sed
zivot,
i
sve
zivo,
ni
moj
ni
njen
ni
tvoj,
tvoj
broj
koji
ceka
da
bude
izvucen
a
tada
zivot
opominje
ljude,
to
tada
vreme
opominje
mudre,
slusaj
vamo,
slusaj
to
Et
c'est
ce
qu'ils
disent,
seuls
les
fous
et
les
chevaux
le
savent,
les
chiens
parlent,
les
gens
aboient,
tout
le
monde
rêve
éveillé
dans
le
quartier,
à
la
fin,
les
idiots
se
repentent,
les
journaux
sont
agréables,
cette
année,
il
est
agréable
de
les
aimer,
tu
dis
ce
que
tu
aimes,
ce
que
tu
penses
penser,
tout
le
monde
le
sait,
cette
année,
il
fait
froid
dans
le
quartier,
le
désir
de
penser
au
bien
réchauffe,
Djordje,
écris
ça,
tu
as
des
gens
avec
qui
tu
traînes,
il
n'y
a
plus
d'idoles,
elles
ont
été
exécutées
par
l'argent,
et
la
septième
vie,
et
tout
ce
qui
vit,
ni
la
mienne
ni
la
tienne
ni
la
tienne,
ton
numéro
qui
attend
d'être
tiré
et
puis
la
vie
avertit
les
gens,
alors
le
temps
avertit
les
sages,
écoute
là,
écoute
ça