Lyrics and translation S.A.R.S. - Zemlja nije ničija

Zemlja nije ničija

Zemlja nije nicija
A njeni plodovi su svaciji
Takav zivot moguc je
Ma ko je drugaciji
Od onog na sta su nas navikli
Neki cudni likovi
Umiljati, veseli, umobolni frikovi
I dal' sam ja u pravu
To uopste nije bitno
O ne, ne, ne
Neke stvari sam, u svojoj glavi
Menjacu pod hitno
Ja ovako stvarno vise
Ne mogu da zivim
Tako malo ima ljudi kojima se divim
S' kojim delim slicne snove
S' kojim delim istu muku
I za njih i za sebe ovaj put
Ja dizem ruku
I tako kazu, samo budale i konji znaju, psi pricaju, ljudi laju, svi snivaju mi budni po kraju, na kraju se glupani kaju, novine gotivne, ove godine godi da te gotive, ti kazes sta volis, sta mislis da mislis sve znaju, ove godine je hladno u kraju, greje zelja da mislim o dobrom, Djordje, pisi ovo, imas ljude da sa njima visis, ponovo nema idola, smaknuti su lovom, a sed zivot, i sve zivo, ni moj ni njen ni tvoj, tvoj broj koji ceka da bude izvucen a tada zivot opominje ljude, to tada vreme opominje mudre, slusaj vamo, slusaj to
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La terre n'appartient à personne

La terre n'appartient à personne
Et ses fruits sont à tous
Une telle vie est possible
Peu importe qui est différent
De ce à quoi nous sommes habitués
Des personnages étranges
Doux, joyeux, fous
Et est-ce que j'ai raison
Ce n'est pas du tout important
Oh non, non, non
Certaines choses, dans ma tête
Je vais changer de toute urgence
Je ne peux vraiment pas vivre comme ça
Plus longtemps
Il y a si peu de gens que j'admire
Avec qui je partage des rêves similaires
Avec qui je partage la même douleur
Et pour eux et pour moi, cette fois
Je lève la main
Et ils disent, seuls les idiots et les chevaux le savent, les chiens parlent, les gens aboient, tout le monde rêve alors que nous sommes éveillés à la fin, à la fin, les imbéciles se repentent, les nouvelles sont agréables, cette année, c'est agréable de te plaire, tu dis ce que tu aimes, ce que tu penses que tu penses que tout le monde le sait, cette année, il fait froid dans le pays, le désir réchauffe de penser au bien, Djordje, écris ça, tu as des gens avec qui tu traînes, il n'y a plus d'idoles, elles ont été éliminées par l'argent, et la vie septième, et tout ce qui vit, ni le mien ni le tien ni le tien, ton numéro qui attend d'être tiré et alors la vie rappelle les gens, alors le temps rappelle les sages, écoute ici, écoute ça
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