Scott Walker - Lights of Cincinatti - translation of the lyrics into French

Lyrics and translation Scott Walker - Lights of Cincinatti




Lights of Cincinatti
Feux de Cincinnati
I remember still, I guess I always will
Je me souviens encore, je suppose que je m'en souviendrai toujours
That winters day I took the west bound flight
De ce jour d'hiver j'ai pris le vol vers l'ouest
As I looked down from the plane
Alors que je regardais par le hublot de l'avion
You were standing in the rain
Tu étais debout sous la pluie
You waved goodbye
Tu as fait signe au revoir
Till I was out of sight
Jusqu'à ce que je sois hors de vue
And I can see them shining
Et je peux les voir briller
Through the Willows and the Pines
À travers les saules et les pins
The lights of Cincinatti
Les feux de Cincinnati
Oh, so many miles behind
Oh, si loin derrière
I could build myself a new life
Je pourrais me bâtir une nouvelle vie
And make it on my own
Et me débrouiller tout seul
But the lights of Cincinnati
Mais les feux de Cincinnati
Will be calling me back home
Me rappelleront à la maison
Sometimes late at night
Parfois tard dans la nuit
I watch the fire light
Je regarde le feu
Make pictures of a life that used to be
Faire des images d'une vie qui était
For a moment I'm back there
Pendant un instant, je suis de retour là-bas
In that same old rocking chair
Dans ce même vieux fauteuil à bascule
You look across the room
Tu regardes de l'autre côté de la pièce
And smile at me
Et tu me souris
And I can see them shining
Et je peux les voir briller
Through the Willows and the Pines
À travers les saules et les pins
The lights of Cincinatti
Les feux de Cincinnati
Oh, so many miles behind
Oh, si loin derrière
I could build myself a new life
Je pourrais me bâtir une nouvelle vie
And make it on my own
Et me débrouiller tout seul
But the lights of Cincinnati
Mais les feux de Cincinnati
Will be calling me back home
Me rappelleront à la maison
But the lights of Cincinnati
Mais les feux de Cincinnati
Will be callin' me back home
Me rappelleront à la maison





Writer(s): Geoff Stephens, Tony Mcauley


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