Lyrics and translation Shadow of Intent - The Horror Within

The Horror Within

The fog suffocates the marsh.
Bewildered I am, for without companionship I am lost.
Hundreds of eyes watch over my shoulder.
As I turn to look in disarray, before my eyes the reaper returning to slay.
Meek and blinded apparitions, resurface and recompense.
The inner machinations of their minds are an enigma.
It's so close I can almost taste it.
I begin to descend to the depths of dead gods.
Materializing in infinite blackness, blood paints the pathway to the only door illuminated.
Approached without knowledge of what lies beneath, I taste the essence of death.
Taunting whispers echo in the halls of smothered tears.
Stopped to face the door again, basking in overwhelming fear.
Fallen comrades bleeding at my feet, what have they done? Opening the gates of hell to the horror within.
From each crevice and arch they emerge.
Unshackled from the prison of millennia to restore thy fallen lord.
Elderly powers clandestine, shadowed in the vastness.
Unscathed, sheltering affliction from the masses of the galaxy.
Populace sulking in disease, chanting to their gods for mercy.
Various forms of entities relinquish this tomb to those who seek treasury.
I fight to stay alive as hordes of demons surge.
They whip and claw at my face as I cling to life.
Immune to any actions taken thus far.
Their only purpose: to consume and mutilate all.
Bound in steel in the bowels of this world.
Creatures made of flesh and maggots.
Primal instinct dictates action.
Perpetual repulsion is a factor that instills my rage, relinquished of all control.
Relinquish all control.
Relinquish your will and your soul. Relinquish! Relinquish! Bittersweet truths always burn the tongues of those who wish to taste the terrors to come.
Alas, an oracle of light brings salvation.
The caretaker of this installation pulls me forth.
Without a second glance at what fiercely follows... to the catacombs we go to end this all.

L'horreur intérieure

Le brouillard étouffe le marais.
Je suis déconcerté, car sans compagnie, je suis perdu.
Des centaines d'yeux me surveillent par-dessus l'épaule.
Alors que je me retourne pour regarder dans le désarroi, devant mes yeux, la faucheuse revient pour tuer.
Des apparitions douces et aveugles, refont surface et se vengent.
Les machinations intérieures de leurs esprits sont une énigme.
C'est si près que je peux presque le goûter.
Je commence à descendre dans les profondeurs des dieux morts.
Se matérialisant dans une noirceur infinie, le sang peint le chemin vers la seule porte illuminée.
Abordé sans savoir ce qui se cache en dessous, je goûte l'essence de la mort.
Des murmures moqueurs résonnent dans les couloirs des larmes étouffées.
Arrêté pour faire face à la porte à nouveau, se prélassant dans une peur accablante.
Des camarades tombés saignent à mes pieds, qu'ont-ils fait ? Ouvrir les portes de l'enfer à l'horreur intérieure.
De chaque crevasse et arche, ils émergent.
Déchaînés de la prison des millénaires pour restaurer ton seigneur déchu.
Des pouvoirs anciens clandestins, ombragés dans l'immensité.
Intacts, abritant l'affliction des masses de la galaxie.
La population se languit dans la maladie, chantant à ses dieux pour obtenir miséricorde.
Diverses formes d'entités abandonnent cette tombe à ceux qui recherchent le trésor.
Je me bats pour rester en vie alors que des hordes de démons surgissent.
Ils fouettent et griffent mon visage alors que je m'accroche à la vie.
Immunisé à toutes les actions entreprises jusqu'à présent.
Leur seul but : consommer et mutiler tous.
Lié à l'acier dans les entrailles de ce monde.
Créatures faites de chair et de vers.
L'instinct primaire dicte l'action.
La répulsion perpétuelle est un facteur qui insuffle ma rage, dégagé de tout contrôle.
Abandonne tout contrôle.
Abandonne ta volonté et ton âme. Abandonne ! Abandonne ! Les vérités amères brûlent toujours les langues de ceux qui souhaitent goûter les terreurs à venir.
Hélas, un oracle de lumière apporte le salut.
Le gardien de cette installation me tire vers le haut.
Sans un deuxième regard sur ce qui suit férocement... vers les catacombes nous allons pour mettre fin à tout cela.