Estás en la bañera, rodeada de espuma, y extiendes el brazo... y con una cuchilla, despacio... dibujas un surco en tu muñeca... una rosa de sangre perfecta por donde se sale tu vida, desorientada... abrazas la muerte como un consuelo, y finalmente... descansas.
Tu es dans la baignoire, entourée de mousse, et tu tends le bras... et avec un couteau, lentement... tu traces un sillon sur ton poignet... une rose de sang parfaite par où s'échappe ta vie, désorientée... tu embrasses la mort comme une consolation, et enfin... tu te reposes.