The
horror
of
all
my
own
reality
of
self
existence
all
is
nothing
all
is
dust
truly
nothing
in
this
sphere
can
be
real
apart
from
the
everlasting
But
what
can
I
say
to
the
one
who
knows
my
name
are
you
able
to
see
my
life
for
what
it
could
be
worth
there
must
be
more
than
every
horrible
chain
around
my
wrists
and
this
blade
to
my
throat
made
alive
in
the
face
in
the
mirror
must
I
stay
me,
must
I
stay
me.
But
what
can
I
say
to
the
one
who's
ripped
all
these
horrible
choices
from
me.
Holy
One
I
know
your
face
Holy
I
know
your
name.
Holy
I
know
my
place
in
this
existence.
Holy
Set
me
Free
Holy
Release
Me
Holy
Let
it
Be
Me.
A
desperate
man
in
the
depths
of
need
I'm
hungry,
I'm
so
hungry
for
meaning
if
there
could
be
thirst
in
the
dead
let
it
be
me
And
let
nothing
satisfy
but
more
need.
But
what
can
I
say
to
the
one
who
knows
my
name,
and
what
can
I
say
to
the
one
who
knew
my
name,
who
ripped
all
my
horrible
choices
from
me.
I
know
your
name,
in
my
reality;
I
have
no
choice
I
will
declare
what
you
mean
to
me.
Holy
one
King
of
Kings.
They
see
the
valley
of
death
cast
its
shadow
I
see
my
last
breath
before
real
existence
and
I
scream
to
the
battered
and
bloodied
the
hopeless
and
used
be
broken
and
come
forth
be
claimed
and
set
apart
as
the
faithful
and
true
the
faithful
and
true
L'horreur
de
toute
ma
propre
réalité
d'existence,
tout
n'est
rien,
tout
est
poussière,
vraiment
rien
dans
cette
sphère
ne
peut
être
réel
en
dehors
de
l'éternel.
Mais
que
puis-je
dire
à
celui
qui
connaît
mon
nom
? Es-tu
capable
de
voir
ma
vie
pour
ce
qu'elle
pourrait
valoir
? Il
doit
y
avoir
plus
que
toutes
ces
horribles
chaînes
autour
de
mes
poignets
et
cette
lame
à
ma
gorge,
vivantes
dans
le
visage
du
miroir.
Dois-je
rester
moi,
dois-je
rester
moi
? Mais
que
puis-je
dire
à
celui
qui
m'a
arraché
tous
ces
choix
horribles
? Saint,
je
connais
ton
visage.
Saint,
je
connais
ton
nom.
Saint,
je
connais
ma
place
dans
cette
existence.
Saint,
libère-moi.
Saint,
laisse-moi
être
moi.
Un
homme
désespéré
dans
les
profondeurs
du
besoin,
j'ai
faim,
j'ai
tellement
faim
de
sens.
S'il
pouvait
y
avoir
soif
chez
les
morts,
que
ce
soit
moi.
Et
que
rien
ne
me
satisfasse,
mais
que
davantage
de
besoin.
Mais
que
puis-je
dire
à
celui
qui
connaît
mon
nom
? Et
que
puis-je
dire
à
celui
qui
connaissait
mon
nom,
qui
m'a
arraché
tous
mes
choix
horribles
? Je
connais
ton
nom,
dans
ma
réalité
; je
n'ai
pas
le
choix,
je
déclarerai
ce
que
tu
représentes
pour
moi.
Saint,
Roi
des
Rois.
Ils
voient
la
vallée
de
la
mort
projeter
son
ombre.
Je
vois
mon
dernier
souffle
avant
l'existence
réelle,
et
je
crie
aux
meurtris
et
ensanglantés,
aux
désespérés
et
utilisés,
aux
brisés
et
aux
rejetés.
Venez,
soyez
réclamés
et
mis
à
part
comme
les
fidèles
et
les
vrais,
les
fidèles
et
les
vrais.