Lyrics and translation Stevie Nicks - New Orleans

New Orleans

In the city of dreams, lies the city's ghost

There's a beginning, there's a middle and an end
In this city we reach out for the middle ground
We throw a great party, so hearts will start to mend
We forgive, at least we try

In the midst of the sea of dreams lies a perfect storm
And in the sea of tears lies a city ghost
In the spirit of the Mardi Gras
Well, the people hope that their lives will get better
The people hope that their lives will get better

I wanna get a room in New Orleans
I wanna sing in the streets of the French quarter
I wanna dress up, I wanna wear beads
I wanna wear feathers and lace
I wanna brush by Anne Rice
And go on down Bourbon street

I see a sea of smiles
I see a haunted city reaching out
I see hope in all their faces
Behind the mask of Mardi Gras
Where the good and the righteous walk
And the wicked as well

I wanna get a room in New Orleans
I wanna sing in the streets of the French quarter
I wanna dress up, I wanna wear beads
I wanna wear feathers and lace
I wanna brush by the vampires

I wanna dress up, ooh yeah
I wanna wear feathers and lace (la, la, la, la)
I wanna brush by Anne Rice
And go down Bourbon street, hmm-hmm
Go on down Bourbon street

Within these rooms, I go up to my balcony
And I hang the paintings on the wall
And I open up my gallery and I open up my doors
I stare at the city, I stare at my city

I wanna get a room in New Orleans
I wanna sing in the streets of the French quarter
I wanna dress up, I wanna wear beads
I wanna wear feathers and lace
I wanna brush by the vampires

I wanna get back to New Orleans
I wanna sing out in the streets of the French quarter
I wanna dress up, I wanna wear beads
I wanna wear feathers and lace
I wanna brush by Anne Rice

Go down Bourbon street
Go down Bourbon street
Go on down Bourbon street
Go on down Bourbon street
Go on down, go on down, go on down
Go on down Bourbon street

In the city of tears, lies the city ghost

La Nouvelle-Orléans

Dans la cité des rêves, gît le fantôme de la ville

Il y a un début, un milieu et une fin
Dans cette ville, nous cherchons le juste milieu
Nous organisons une grande fête, pour que les cœurs commencent à guérir
Nous pardonnons, du moins nous essayons

Au milieu de la mer des rêves se trouve une tempête parfaite
Et dans la mer des larmes gît le fantôme de la ville
Dans l'esprit du Mardi Gras
Eh bien, les gens espèrent que leur vie s'améliorera
Les gens espèrent que leur vie s'améliorera

Je veux une chambre à La Nouvelle-Orléans
Je veux chanter dans les rues du Quartier Français
Je veux me déguiser, je veux porter des perles
Je veux porter des plumes et de la dentelle
Je veux croiser Anne Rice
Et descendre Bourbon Street

Je vois une mer de sourires
Je vois une ville hantée qui tend la main
Je vois de l'espoir sur tous leurs visages
Derrière le masque du Mardi Gras
Où les bons et les justes marchent
Et les méchants aussi

Je veux une chambre à La Nouvelle-Orléans
Je veux chanter dans les rues du Quartier Français
Je veux me déguiser, je veux porter des perles
Je veux porter des plumes et de la dentelle
Je veux croiser les vampires

Je veux me déguiser, oh oui
Je veux porter des plumes et de la dentelle (la, la, la, la)
Je veux croiser Anne Rice
Et descendre Bourbon Street, hmm-hmm
Descendre Bourbon Street

Dans ces pièces, je monte sur mon balcon
Et j'accroche les peintures au mur
Et j'ouvre ma galerie et j'ouvre mes portes
Je contemple la ville, je contemple ma ville

Je veux une chambre à La Nouvelle-Orléans
Je veux chanter dans les rues du Quartier Français
Je veux me déguiser, je veux porter des perles
Je veux porter des plumes et de la dentelle
Je veux croiser les vampires

Je veux retourner à La Nouvelle-Orléans
Je veux chanter dans les rues du Quartier Français
Je veux me déguiser, je veux porter des perles
Je veux porter des plumes et de la dentelle
Je veux croiser Anne Rice

Descendre Bourbon Street
Descendre Bourbon Street
Descendre Bourbon Street
Descendre Bourbon Street
Descendre, descendre, descendre
Descendre Bourbon Street

Dans la cité des larmes, gît le fantôme de la ville