Lyrics and translation Stress - Mais où ?

Mais où ?

REFRAIN:
Paraît que c'est pas content, que ça braille. Mais où?
Ils ont un truc a dire? J'entends rien. Mais ils sont où?
Tu sais où me trouver, mou j'suis juste là mais toi t'es où?
Mais où?

Y a trop de pourris déguisés, derrière des sourires aguisés.
C'morceau c'est mes 3 miutes de lucidité.
L'anné dernierère j'ai découvert que les succès m'éloigne de ma zik et que le fric a foutu la merde dans l'ensemble de mon équipe.
Alors j'suis souvent excessif, parfois dépressif.Impulsif dans l'excercise de ce rap qu'ils déprécient.
Ca critique, l'opinion publique clame qu'on sert à rien. Double disque d'or.
Notre musique doit bien parler à quelqu'un.
30'000 majeurs en l'air, un horde criant: "FUCK BLOCHER".
La driote peux plus nous ignorer, j'crois que c'est clair.
Puis l'UDC me demande des excuses publiques. Messieurs les voilà:
Bance de fachos sucez ma bite. Ma maison d'disque flippe j'utilise "pédé" dans un titre.
La communauté gay s'exite, ils veulent que je m'explique.
J'parle de langage de la street. Y a décalage faites pas un drame.
J'travestirai jamais mon langage pour vos états d'âmes.

REFRAIN
Dans ma zik j'y mets ma vie, vas-y demande à Melanie.
Si pour toi c'est une question de mélanine tu peux m'sucer la bite.
Souvent j'suis mon propre ennemi. Ma mélodie ma maladie.
Mais j'te garantis que tous ces clichésça m'assine.
C'est partie on met 2-3 pétasses dans une piscine, 2-3 bouteille de chrystal qu'on a remplis de bibine.
Aujourd'hui faut vendre d'la drogue, faire d'la taule pour faire du rap.
Et la musique dans tout ça?
A ce que j'entends, tout le monde s'en tape.
Ils croient que les clichés et le fricotage ça fait vendre.
Tu kiffes qu'un d'ces chiens de l'industrie se frotte à ta jambe.
On nous met la violence sur le dos, c'est la controverse.
Mais la musique que résulte des problèmes sociaux et non l'inverse.
Comme il y a 20 ans dans le rock, dans le rap ça se tape.
Mais pour le rap les medias matraquent.
Ces bâtards nous détraquent.
Interdisez le rap avant que ça dérape et que ça soit trop tard.
Un peu décevanr d'la part de ces 68ards.

REFRAIN

Where Are They?

CHORUS:
Seems they ain't happy, they're bitching. But where?
They got something to say? I hear nothing. Where are they?
You know where to find me, I'm right here, but where are you?
Where are they?

Too many rotten ones disguised, behind sharp smiles.
This track is my 3 minutes of lucidity.
Last year I discovered that success takes me away from my music and that money fucked up my whole team.
So I'm often excessive, sometimes depressed. Impulsive in the exercise of this rap that they despise.
They criticize, public opinion claims we're useless. Double gold disc.
Our music must speak to someone.
30,000 middle fingers in the air, a horde screaming: "FUCK BLOCHER".
The right wing can't ignore us anymore, I think it's clear.
Then the UDC asks me for a public apology. Gentlemen, here it is:
Bunch of fascists suck my dick. My record company freaks out, I use "faggot" in a track.
The gay community gets excited, they want me to explain myself.
I'm talking street language. There's a gap, don't make a drama out of it.
I'll never disguise my language for your moods.

CHORUS
I put my life into my music, go ask Melanie.
If for you it's a question of melanin, you can suck my dick.
Often I'm my own enemy. My melody, my disease.
But I guarantee you that all these clichés drive me crazy.
Let's go, we put 2-3 bitches in a pool, 2-3 bottles of Crystal filled with booze.
Today you gotta sell drugs, do time to make rap.
And the music in all this?
From what I hear, nobody gives a shit.
They think clichés and cronyism sell.
You love it when one of these industry dogs rubs against your leg.
They put the violence on our backs, it's the controversy.
But music is the result of social problems, not the other way around.
Like 20 years ago in rock, in rap, they fight.
But for rap, the media bludgeons.
These bastards drive us crazy.
Ban rap before it gets out of hand and it's too late.
A bit disappointing from these 68ers.

CHORUS