Lyrics and translation The Color Morale - When One Was Desolate

When One Was Desolate

Return... right back to the hell from which you came from.
Held back by the bloodline, somethings gone horribly Wrong,
We feel as If we don't belong.
Why do I need the answers this moment?

And so they came held back by a moments grace...
They only speak so they save their face, and then drift away...

And the shadows know of, of the snakes,
The day will come when you'll want this,
But you'll be measured by what you take.

So where were you?
The light to lead me to this hell and through...
Don't lose faith we'll find a way, the way back through.
They only speak of their saving grace,
And I see that my grace Is you!

We're all the same!
Well this Is me and this Is you alone together.
We're all the same!
You smile as you struggle like me,
Like these like every wicked chosen decay that lies In me,
Just let It leave just leave.
Just leave my body, are we born among demons?

Send all your chosen plagues, right back to the hell from which they came.
False belief, dies today, separate my body, and let me be.

Quand on était désolé

Retourne... droit en enfer d'où tu viens.
Retenu par le sang, quelque chose a terriblement mal tourné,
On se sent comme si on n'appartenait pas.
Pourquoi ai-je besoin des réponses en ce moment ?

Et ils sont venus, retenus par la grâce d'un instant...
Ils ne parlent que pour sauver la face, puis s'éloignent...

Et les ombres connaissent, connaissent les serpents,
Le jour viendra où tu voudras ça,
Mais tu seras mesuré par ce que tu prends.

Alors où étais-tu ?
La lumière pour me guider vers cet enfer et à travers...
Ne perds pas foi, on trouvera un chemin, le chemin du retour.
Ils ne parlent que de leur grâce salvatrice,
Et je vois que ma grâce, c'est toi !

On est tous pareils !
Eh bien, c'est moi et c'est toi, seul ensemble.
On est tous pareils !
Tu souris en luttant comme moi,
Comme ceux-ci, comme chaque déchéance perverse choisie qui réside en moi,
Laisse-la partir, laisse-la juste partir.
Laisse juste mon corps, sommes-nous nés parmi les démons ?

Envoie toutes tes plaies choisies, droit en enfer d'où elles viennent.
La fausse croyance, meurt aujourd'hui, sépare mon corps, et laisse-moi être.