Lyrics and translation The Last Royals - Always, to Belong

Always, to Belong

I'll photograph evening light
And send at once, the setting sun
To the ones that I love
The bastards they will fall
To the ground
Splitting hairs and taking bites
Trying always, to belong
And we sing...

Oh oh, fairly well
Oh, farewell, farewell
Oh, fair warning
To the walls that come between
A loving father and a son

I'll cut a path
Through the trees
Using only living leaves
To the ones that I love
And the bastards they will fall
Dressing up and dressing down
Our happy hearts
They're beating twice
Without beating once
And we sing...

Oh oh, fairly well
Oh, farewell, farewell
Oh, fair warning
To the walls that come between
A loving father and a son

And the bastards they will fall
They're dressing up
I'm dressing down
And our happy hearts
Are twice as fast
Through the forest we will crawl
I'll cut a path right through the trees
Using only living leaves
And our happy hearts are twice as fast
They're splitting hairs and getting by
Trying every day and always to belong

Toujours, pour appartenir

Je vais photographier la lumière du soir
Et envoyer tout de suite, le soleil couchant
À celles que j'aime
Les salauds, ils vont tomber
Au sol
Se fâchant pour un rien et prenant des morsures
Essayant toujours, d'appartenir
Et nous chantons...

Oh oh, plutôt bien
Oh, adieu, adieu
Oh, avertissement
Aux murs qui s'interposent
Un père aimant et son fils

Je vais tracer un chemin
À travers les arbres
En utilisant uniquement des feuilles vivantes
À celles que j'aime
Et les salauds, ils vont tomber
S'habillant et se déshabillant
Nos cœurs heureux
Ils battent deux fois
Sans battre une seule fois
Et nous chantons...

Oh oh, plutôt bien
Oh, adieu, adieu
Oh, avertissement
Aux murs qui s'interposent
Un père aimant et son fils

Et les salauds, ils vont tomber
Ils s'habillent
Je me déshabille
Et nos cœurs heureux
Sont deux fois plus rapides
À travers la forêt, nous allons ramper
Je vais tracer un chemin à travers les arbres
En utilisant uniquement des feuilles vivantes
Et nos cœurs heureux sont deux fois plus rapides
Ils se fâchent pour un rien et s'en sortent
Essayant tous les jours et toujours d'appartenir