I
used
to
visit
all
the
very
gay
places
Those
come
what
may
places
Where
one
relaxes
on
the
axis
of
the
wheel
of
life
To
get
the
feel
of
life...
From
jazz
and
cocktails.
The
girls
I
knew
had
sad
and
sullen
gray
faces
With
distant
gay
traces
That
used
to
be
there
you
could
see
where
they'd
been
washed
away
By
too
many
through
the
day...
Twelve
o'clock
tales.
Then
you
came
along
with
your
siren
of
song
To
tempt
me
to
madness!
I
thought
for
a
while
that
your
poignant
smile
was
tinged
with
the
sadness
Of
a
great
love
for
me.
Ah
yes!
I
was
wrong...
Again,
I
was
wrong.
Life
is
lonely
again,
And
only
last
year
everything
seemed
so
sure.
Now
life
is
awful
again,
A
troughful
of
hearts
could
only
be
a
bore.
A
week
in
Paris
will
ease
the
bite
of
it,
All
I
care
is
to
smile
in
spite
of
it.
I'll
forget
you,
I
will
While
yet
you
are
still
burning
inside
my
brain.
Romance
is
mush,
Stifling
those
who
strive.
I'll
live
a
lush
life
in
some
small
dive...
And
there
I'll
be,
while
I
rot
With
the
rest
of
those
whose
lives
are
lonely,
too.
J'avais
l'habitude
de
fréquenter
tous
les
endroits
très
gais,
ces
endroits
où
l'on
se
dit
« quoi
qu'il
arrive
»,
où
l'on
se
détend
sur
l'axe
de
la
roue
de
la
vie
pour
sentir
la
vie...
à
travers
le
jazz
et
les
cocktails.
Les
filles
que
je
connaissais
avaient
des
visages
tristes
et
gris,
avec
des
traces
de
gaieté
lointaines,
qui
étaient
là,
tu
pouvais
voir
où
elles
avaient
été
effacées
par
trop
de
jours...
des
histoires
de
minuit.
Puis
tu
es
arrivé
avec
ta
sirène
de
chanson
pour
me
tenter
vers
la
folie
! J'ai
pensé
un
moment
que
ton
sourire
poignant
était
teinté
de
la
tristesse
d'un
grand
amour
pour
moi.
Ah
oui
! Je
me
trompais...
Encore
une
fois,
je
me
trompais.
La
vie
est
à
nouveau
solitaire,
et
l'année
dernière,
tout
semblait
si
sûr.
Maintenant,
la
vie
est
à
nouveau
horrible,
un
creux
de
cœurs
ne
pourrait
être
qu'un
ennui.
Une
semaine
à
Paris
atténuera
la
morsure,
tout
ce
qui
me
préoccupe,
c'est
de
sourire
malgré
cela.
Je
t'oublierai,
je
le
ferai,
alors
que
tu
brûles
encore
dans
mon
cerveau.
La
romance
est
un
gâchis,
étouffant
ceux
qui
s'efforcent.
Je
vivrai
une
vie
opulente
dans
un
petit
bar...
et
je
serai
là,
pendant
que
je
pourris
avec
le
reste
de
ceux
qui
ont
une
vie
solitaire,
aussi.