Lyrics and translation The World Is A Beautiful Place & I Am No Longer Afraid To Die - Picture of a Tree That Doesn't Look Okay

Picture of a Tree That Doesn't Look Okay

Do you think the landlord′s pissed?
We left a car parked on the lawn again.
He's looking.
The porch is still and empty.
We wrote our friends names on the walls inside.
They′re laughing.
We know that this isn't home for long.
The posters in your bedroom speak softly.
They tell stories.
So while the weather's getting worse we take shelter in these walls again and tell stories.
So where did you live and what did you learn there?
We watch the fallen leaves turn to frozen trees, it′s been another year.
Where do the echoes from the echoes go?
Where does the water flow when it leaves our homes.
I′ve been searching for this, something that I can run away with.
It's a life changing decision.
Should I leave or try to beat this? (I know it gets harder everyday.
But the dawn will fade and our skin will flake away.) Where do the echoes from the echoes go?
Where does the water flow once it leaves our homes.
Live wires are like this.
They hit the streets and form a beacon.
It′s a danger we've been warned, but we still stretch and try to reach them.
Watching our planet grow on screens I spoke into a window sill and still forgot everything and it spoke back.
A thousand frozen trees but still there′s something burning. (I will stare while you are growing.
Come with me to empty places.) They are filled with everything.
Where do the pieces of our dreams recede?
Into eyes shut that are opening.
I never have ever decided what to think of all the years I spent in Connecticut. (Whenever, if ever I get my life together I'll apologize for all the things I should have said) So beat on the bass drum, make all the spiders run.
We threw rocks at the house and it looked back. (and done.
Another day lost to the setting sun.
I stare at the ceiling and it looks back.)

Image d'un arbre qui n'a pas l'air bien

Tu penses que le propriétaire est énervé ?
On a encore laissé une voiture garée sur la pelouse.
Il regarde.
Le porche est immobile et vide.
On a écrit les noms de nos amis sur les murs à l'intérieur.
Ils rient.
On sait que cette maison ne sera pas la nôtre longtemps.
Les posters dans ta chambre parlent doucement.
Ils racontent des histoires.
Alors que le temps se gâte, on se réfugie encore une fois dans ces murs et on raconte des histoires.
Alors, où as-tu vécu et qu'as-tu appris là-bas ?
On regarde les feuilles mortes se transformer en arbres gelés, c'est déjà une autre année.
Où vont les échos des échos ?
Où va l'eau lorsqu'elle quitte nos maisons.
Je recherche ça, quelque chose avec quoi je peux m'enfuir.
C'est une décision qui change la vie.
Dois-je partir ou essayer de vaincre ça ? (Je sais que ça devient plus difficile chaque jour.
Mais l'aube s'estompera et notre peau s'effondrera.) Où vont les échos des échos ?
Où va l'eau une fois qu'elle quitte nos maisons.
Les fils électriques sont comme ça.
Ils touchent les rues et forment un phare.
C'est un danger dont on nous a avertis, mais on s'étire encore et on essaie de les atteindre.
En regardant notre planète grandir sur les écrans, j'ai parlé dans un rebord de fenêtre et j'ai quand même tout oublié, et elle a répondu.
Un millier d'arbres gelés, mais il y a encore quelque chose qui brûle. (Je vais regarder pendant que tu grandis.
Viens avec moi dans des endroits vides.) Ils sont remplis de tout.
Où disparaissent les morceaux de nos rêves ?
Dans des yeux fermés qui s'ouvrent.
Je n'ai jamais décidé ce que je pensais de toutes ces années que j'ai passées dans le Connecticut. (Si jamais, si jamais je remets ma vie en ordre, je m'excuserai pour toutes les choses que j'aurais dû dire) Alors frappe sur le tambour basse, fais courir toutes les araignées.
On a jeté des pierres à la maison et elle nous a regardé. (et fini.
Encore une journée perdue au coucher du soleil.
Je regarde le plafond et il me regarde.)