Lyrics and translation Third Realm - Behold the Dreamers

Behold the Dreamers

You crash landed in my dreams, I know
My eyes were fooled by your pleasant show
A tunnel wide, and a vision dim
I called for you, and you heard my hymn
You led me to heaven, then left me in hell
What once was love, now a grim farewell
The waves of the sea wash away your pain
Now death rides a train as you laugh in the rain
All the legends died, maker signified
Distant echos heard, broken voices slurred
As we wave goodbye, floating in the sky
Body sheds its skin, kills the heart within
A cold reminder of September's chill
Longing for something that made us ill
Sleeping and weeping, a lonely cry
Alone, we swear that we were going to die
I looked at the moon and I saw your eyes
Watching me fall, but you helped me rise
Somewhere in time you forsaken me
Without an embrace you just set me free
All the legends died, maker signified
Distant echos heard, broken voices slurred
As we wave goodbye, floating in the sky
Body sheds its skin, kills the heart within

Voici les Rêveurs

Tu t'es écrasé dans mes rêves, je sais
Mes yeux ont été trompés par ton spectacle agréable
Un tunnel large, et une vision faible
Je t'ai appelé, et tu as entendu mon hymne
Tu m'as mené au paradis, puis tu m'as laissé en enfer
Ce qui était autrefois l'amour, maintenant un adieu sombre
Les vagues de la mer emportent ta douleur
Maintenant la mort roule en train pendant que tu ris sous la pluie
Toutes les légendes sont mortes, le créateur a été signifié
Des échos lointains entendus, des voix brisées bégayent
Alors que nous faisons nos adieux, flottant dans le ciel
Le corps perd sa peau, tue le cœur à l'intérieur
Un froid rappel du froid de septembre
Aspirant à quelque chose qui nous a rendus malades
Dormir et pleurer, un cri solitaire
Seuls, nous jurons que nous allions mourir
J'ai regardé la lune et j'ai vu tes yeux
Me regardant tomber, mais tu m'as aidé à me lever
Quelque part dans le temps, tu m'as abandonné
Sans un étreinte, tu m'as simplement libéré
Toutes les légendes sont mortes, le créateur a été signifié
Des échos lointains entendus, des voix brisées bégayent
Alors que nous faisons nos adieux, flottant dans le ciel
Le corps perd sa peau, tue le cœur à l'intérieur