Estribillo
x2
(shotta):
El
paraiso
viaje
con
hotel
y
sin
prisa,
la
mente
en
blanco
enfermos
divisan,
sin
un
duro
en
la
cartera
solo
se
puedo
soñar,
bienvenido
al
paraiso,
felicidad.
Refrain
x2
(Shotta):
Le
paradis,
un
voyage
avec
hôtel
et
sans
se
presser,
l'esprit
vide,
des
malades
regardent,
sans
un
sou
en
poche,
on
ne
peut
que
rêver,
bienvenue
au
paradis,
le
bonheur.
SHOTTA:
Hay
un
grano
en
mi
polla
que
me
importa
mas
que
la
nasa
descubra
agua
en
marte,
hoy
tuve
una
visita
de
un
par
de
cabrones
de
mierda
enviaos
de
jesucristo,
me
hacen
pensar
en
como
ser
amable,
chuparan
mi
prepucio,
leete
este
tomo
el
paraiso
es
llenar
de
plomo,
miembro
del
kukus
klan
acompañao
de
un
moro,
yeh,
solo
un
presente
entenderá
filosofia,
soy
mitad
sHaMaN
mitad
MarILyN
MaNsOn,
no
solo
america
brasil
es
temible
intercambian
riñones
de
bebes
como
fusibles,
se
que
te
suda
la
polla,
felicidad
distancia,
tu
ya
la
tienes
al
crecer
con
ignorancia,
donde
meterte
si
se
acaba
el
mundo,
se
cuando
pierdo
y
disimulo,
la
vida
lo
de
siempre,
buscarte
un
pisillo
con
tu
parienta
tu
trabajillo
tu
equilibrio
follar
sin
molestar
al
vecino,
mi
felicidad
se
une
a
silabas,
trincala
aguilas,
vital
como
follar
puedes
enfermar,
niko,
tambien
como
mc
y
sin
titulo,
a
la
mierda,
puños
al
aire
gatos
comiendo
pitbuls,
como
promoe
no
me
empuje
estoy
al
filo,
unos
lloriquean
otros
salen
en
vinilo,
el
sonido
del
barrio
es
flamenco
no
bustamante,
elegante
suena
árabe
fuma
esa
v,
la
felicidad
no
existe
solo
momentos
agradables
desenchufeme
del
cable,
no
quiero
ser
amable,
flores
en
el
ático
sin
petalos,
encuentra
lo
que
puedas
es
el
método,
entrenate
en
un
zoo
para
salir
a
pie,
el
embuste
musical
bastarda,
fama
espero
que
te
violen
con
una
mano
a
la
espalda,
y,
si,
letras
follo
entonaciones
americanas
llegando
al
limite
al
tope,
extasis
nirvana.
SHOTTA:
Il
y
a
un
truc
dans
mes
couilles
qui
me
préoccupe
plus
que
la
NASA
ne
découvre
de
l'eau
sur
Mars,
j'ai
reçu
aujourd'hui
la
visite
d'une
paire
de
connards
envoyés
par
Jésus-Christ,
ils
me
font
réfléchir
à
la
façon
d'être
aimable,
ils
suceront
mon
prépuce,
lis
ce
volume,
le
paradis
c'est
remplir
de
plomb,
membre
du
Ku
Klux
Klan
accompagné
d'un
Maure,
ouais,
seul
un
cadeau
comprendra
la
philosophie,
je
suis
à
moitié
chaman,
à
moitié
Marilyn
Manson,
pas
seulement
l'Amérique,
le
Brésil
est
redoutable,
ils
échangent
des
reins
de
bébés
comme
des
fusils,
je
sais
que
ça
te
fait
transpirer
les
couilles,
le
bonheur,
la
distance,
tu
l'as
déjà
en
grandissant
dans
l'ignorance,
où
te
mettre
si
le
monde
se
termine,
je
sais
quand
je
perds
et
je
fais
semblant,
la
vie,
la
routine,
te
trouver
un
petit
appart'
avec
ta
meuf,
ton
petit
boulot,
ton
équilibre,
baiser
sans
déranger
le
voisin,
mon
bonheur
se
conjugue
en
syllabes,
prends-le,
les
aigles,
vital
comme
baiser,
tu
peux
tomber
malade,
Niko,
aussi
comme
MC
et
sans
diplôme,
merde,
les
poings
en
l'air,
des
chats
qui
mangent
des
pitbulls,
comme
je
promeus,
ne
me
pousse
pas,
je
suis
à
cran,
certains
pleurnichent,
d'autres
sortent
en
vinyle,
le
son
du
quartier
c'est
du
flamenco,
pas
du
Bustamante,
ça
sonne
arabe
élégant,
fume
cette
beuh,
le
bonheur
n'existe
pas,
seulement
des
moments
agréables,
débranchez-moi,
je
ne
veux
pas
être
gentil,
des
fleurs
dans
le
grenier
sans
pétales,
trouve
ce
que
tu
peux,
c'est
la
méthode,
entraîne-toi
dans
un
zoo
pour
t'en
sortir
à
pied,
l'escroquerie
musicale,
salope,
la
gloire,
j'espère
qu'on
te
violera
avec
une
main
dans
le
dos,
et,
oui,
des
paroles,
je
baise
des
intonations
américaines
atteignant
la
limite
au
sommet,
l'extase,
le
nirvana.
TOTE:
Los
sabios
de
la
tierra
pasan
su
vida
escondidos,
encorvados
entre
pergaminos
inmunes
al
olvido,
marcados
por
dosis
de
sensibilidad,
la
típica
agresividad
de
barrio
no
es
mi
realidad,
dromedarios
de
zafiro,
imagino,
cuadros
de
banel
pintaos
en
limos,
cianuro
en
vasos
defino
en
feria
y
atracciones
de
asesinos,
horteras
que
malgastan
su
plata
en
casinos,
gigantes
cataratas
de
sangre
negra,
barmitas
con
pocima,
insensatos
beben
y
se
desintegran,
por
decimas
silfides
salvan
almas,
fuegos,-,
vagan
nivelan
el
carma,
cuentos
de
canter
bury
rondas
de
fatal
fury,
mi
primera
consola
una
tary
solia
servir,
mi
paraiso
es
algo
parecido
a
piedras
sankara,
donde
estarán
enterradas
hiedra
los
separa,
egipto,
libros
de
allan
boe
cancér
terminal
para
cada
miembro
del
psoe,
el
disco
de
big
noe
mcs
operaos
del
menisco,
leyendo
algo
de
foe,
el
muro
de
pin
floe,
cualquier
pelicula
de
alfredo
hiscot
vale,
documentales
de
la
2 que
salen
follando
animales,
chavales
frikis
inofensivos
con
neuras,
hies
chungos
envejecidos
por
pirulas,
noo,
mujeres
con
las
que
se
puede
hablar
despues
de
follar,
amar
y
soñar
sin
dejar
de
respetar,
paraisos
terrenales
dejan
señales
cardenales
en
la
piel
baños
de
sales,
los
dias
mas
guapos
del
cole
manos
bañadas
en
perfumes
de
aerosoles,
caminar
sobre
cristales
duele,
donde
está
mi
paraiso,
pregunto,
mi
vida
laboral
es
otro
asunto
como
el
jet
cundo.
TOTE
: Les
sages
de
la
terre
passent
leur
vie
cachés,
penchés
sur
des
parchemins
à
l'abri
de
l'oubli,
marqués
par
des
doses
de
sensibilité,
la
typique
agressivité
de
quartier
n'est
pas
ma
réalité,
des
dromadaires
de
saphir,
j'imagine,
des
tableaux
de
pastel
peints
dans
la
boue,
du
cyanure
dans
des
verres,
je
définis
en
fête
foraine
et
attractions
de
tueurs,
des
beaufs
qui
dépensent
leur
argent
dans
les
casinos,
des
cascades
géantes
de
sang
noir,
des
petites
branches
avec
une
potion
magique,
des
fous
boivent
et
se
désintègrent,
par
dixièmes,
les
sylphides
sauvent
des
âmes,
des
feux,
errent,
nivellent
le
karma,
des
contes
de
Canterbury,
des
parties
de
Fatal
Fury,
ma
première
console,
une
Atari,
ça
servait,
mon
paradis
ressemble
à
des
pierres,
Sankara,
où
seront
enterrées
des
mauvaises
herbes
les
séparent,
l'Égypte,
les
livres
d'Allan
Poe,
un
cancer
en
phase
terminale
pour
chaque
membre
du
PSOE,
le
disque
de
Big
Noyd,
des
MC
opérés
du
ménisque,
en
lisant
du
Charles
Bukowski,
le
mur
de
Pink
Floyd,
n'importe
quel
film
d'Alfred
Hitchcock
fera
l'affaire,
des
documentaires
d'Arte
où
on
voit
des
animaux
baiser,
des
mecs
chelous
inoffensifs
et
névrosés,
des
vieux
hippies
bousillés
par
les
drogues
dures,
nooon,
des
femmes
avec
qui
on
peut
parler
après
avoir
baisé,
aimer
et
rêver
sans
cesser
de
respecter,
les
paradis
terrestres
laissent
des
marques
cardinales
sur
la
peau,
des
bains
de
sel,
les
plus
beaux
jours
de
l'école,
les
mains
baignées
de
parfums
d'aérosols,
marcher
sur
des
bris
de
verre,
ça
fait
mal,
où
est
mon
paradis,
je
demande,
ma
vie
professionnelle
est
une
autre
histoire
comme
le
jet
quand.