Type O Negative - 12 Black Rainbows - translation of the lyrics into French

Lyrics and translation Type O Negative - 12 Black Rainbows




12 Black Rainbows
12 Black Rainbows
Idle hands may be the Devil′s work
Les mains oisives peuvent être l'œuvre du Diable
Unbridled minds you see are so much worse
Les esprits débridés que tu vois sont bien pires
Too much pity spent and wasting time
Trop de pitié dépensée et du temps perdu
Irresponsibility, not my only crime, no
L'irresponsabilité, pas mon seul crime, non
Obsessive thinking, depressed drinking
Pensées obsessionnelles, boisson dépressive
The person I once was - he's dead
La personne que j'étais autrefois - elle est morte
Exhume the past, this time will be my last
Exhumer le passé, cette fois sera ma dernière
This is my final quest to remove the mask, yeah
C'est ma quête finale pour retirer le masque, oui
Don′t be afraid, as she pulled down the shade
N'aie pas peur, comme elle a tiré le rideau
Said there's nothing to fear, but the monster is here
Elle a dit qu'il n'y a rien à craindre, mais le monstre est
So just tell me the time, be it quarter of nine
Alors dis-moi l'heure, qu'il soit neuf heures et quart
Since the sun's gone away, now the creature will play
Puisque le soleil est parti, maintenant la créature va jouer
Ice blue eyes follow me everywhere I go
Des yeux bleus glacés me suivent partout je vais
Making my heart appear as lead, I hate to wish it
Faisant paraître mon cœur comme du plomb, je déteste le souhaiter
But I′ll tell you though that I′m quite ready
Mais je te dirai que je suis prêt
'Cause I′m already dead
Parce que je suis déjà mort
Don't be afraid, as she pulled down the shade
N'aie pas peur, comme elle a tiré le rideau
Said there′s nothing to fear, but the monster is here
Elle a dit qu'il n'y a rien à craindre, mais le monstre est
So just tell me the time, be it quarter of nine
Alors dis-moi l'heure, qu'il soit neuf heures et quart
Since the sun's gone away, now the creature will play
Puisque le soleil est parti, maintenant la créature va jouer





Writer(s): Peter Steele


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