Lyrics and translation U2 - Silver and Gold (Sun City Version)

Silver and Gold (Sun City Version)

In the shit house a shotgun
Praying hands hold me down
Only the hunter was hunted
In this tin can town
Tin can town

No stars in the black night
Looks like the sky fell down
No sun in the daylight
Looks like it's chained to the ground
Chained to the ground
The warden said
The exit is sold
If you want a way out
Silver and gold

Broken back to the ceiling
Broken nose to the floor
I scream at the silence, it's crawling
It crawls under the door
There's a rope around my neck
And there's a trigger in your gun
Jesus say something
I am someone, I am someone
I am someone

Captain and kings
In the ships hold
They came to collect
Silver and gold
Silver and gold

Seen the coming and going
Seen them captains and the kings
See them navy blue uniforms
See them bright and shiny things
Bright shiny things

The temperature is rising
The fever white hot
Mister, I ain't got nothing
But it's more than you got

Chains no longer bind me
Not the shackles at my feet
Outside are the prisoners
Inside the free
Set them free
Set them free

A prize fighter in a corner is told
Hit where it hurts
Silver and gold
Silver and gold

Yep, silver and gold... This song was written in a hotel room in New York city 'round about the time a friend or ours, Little Steven, was putting together a record of artists against apartheid. This is a song written about a man in a shanty town outside of Johannesburg. A man who's sick of looking down the barrel of white South Africa. A man who is at the point where he is ready to take up arms against his oppressor. A man who has lost faith in the peacemakers of the west while they argue and while they fail to support a man like bishop Tutu and his request for economic sanctions against South Africa.

Am I buggin' you? I don't mean to bug ya...

Okay Edge, play the blues...

Argent et Or (Version Sun City)

Dans la baraque, un fusil de chasse
Des mains qui prient me retiennent
Seul le chasseur a été chassé
Dans cette ville de bidonvilles
Ville de bidonvilles

Pas d'étoiles dans la nuit noire
On dirait que le ciel est tombé
Pas de soleil en plein jour
On dirait qu'il est enchaîné au sol
Enchaîné au sol
Le gardien a dit
La sortie est vendue
Si tu veux une échappatoire
Argent et or

Le dos cassé contre le plafond
Le nez cassé sur le sol
Je crie au silence, il rampe
Il rampe sous la porte
Il y a une corde autour de mon cou
Et il y a une gâchette dans ton arme
Jésus, dis quelque chose
Je suis quelqu'un, je suis quelqu'un
Je suis quelqu'un

Capitaines et rois
Dans les cales des navires
Ils sont venus pour collecter
Argent et or
Argent et or

J'ai vu les arrivées et les départs
J'ai vu ces capitaines et ces rois
J'ai vu ces uniformes bleu marine
J'ai vu ces choses brillantes et étincelantes
Des choses brillantes et étincelantes

La température monte
La fièvre est à son comble
Mon cher, je n'ai rien
Mais c'est plus que ce que tu as

Les chaînes ne me lient plus
Pas les menottes à mes pieds
Dehors, ce sont les prisonniers
Dedans, les libres
Libérez-les
Libérez-les

Un boxeur dans un coin est averti
Frappe là où ça fait mal
Argent et or
Argent et or

Oui, argent et or... Cette chanson a été écrite dans une chambre d'hôtel à New York, à l'époque où un ami à nous, Little Steven, préparait un disque d'artistes contre l'apartheid. C'est une chanson écrite à propos d'un homme dans une ville de taudis en dehors de Johannesburg. Un homme qui en a assez de regarder le canon de l'Afrique du Sud blanche. Un homme qui est arrivé au point où il est prêt à prendre les armes contre son oppresseur. Un homme qui a perdu confiance dans les pacifistes de l'Occident alors qu'ils se disputent et qu'ils ne parviennent pas à soutenir un homme comme l'évêque Tutu et sa demande de sanctions économiques contre l'Afrique du Sud.

Je te casse les pieds ? Je ne veux pas te casser les pieds...

D'accord Edge, joue le blues...