Lyrics and translation Ubiquitous - Hell Followed With

Hell Followed With

This deformed plain, Oh' where have I awoken
Foul stench of decay, my body feels broken
The air is like sand, choking with each breath
A river of bodies, begging for death
A ferry mans bones lay posed on a boat
Rotting sides of skin are stuck to a coat
A haunting inhale the corpse it then spoke
Ye who enters here abandons all hope

I'm clawing my way out the nether realm
It's the underground where monsters dwell
Thousands of hands pulling down from the lake
Steer clear from the edge, your soul is at stake

Unforgiving caverns that seem to have no end
Caged skeletal remains hang round every bend
His greedy open palm, grinning always wanting more
Pay the price to venture forward from these cursed shores

Hours have passed on my voyage through the black
In horror i'm dreading that there's no turning back
Magnificent gates draw closer through the fog
Grasping a torch to see through this smog
Blistering winds, greet me at the foggy shores
Architecture leaves me static stood in awe
Fair maidens paired, swoon for my affection
Thus whores they are not, this stands a house of correction
Pushing through the nether regions of this awful hell
Bloated obese bodies are scattered through this moulded realm
Gluttonous corpses hang begging for more
Exploded stomachs, vomit spews from their very core

Profusely sweating this heat unbearable
The wrathful and sullen, fight for the unsharable
Eternally condemned to rot in flaming tombs
The price of their sins, forever spent in gloom

Unforgiving chasms that seem to have no end
Screaming's of the damned echo round every bend
His greedy open palm, grinning always needing more
Pay the price to venture forward from these torturous shores

I'm clawing my way out the nether realm
It's the underground where monsters dwell
Thousands of hands pulling down from the lake
Steer clear from the edge, your soul is at stake

L'enfer a suivi avec

Cette plaine déformée, oh où me suis-je réveillé
La puanteur de la décomposition, mon corps se sent brisé
L'air est comme du sable, étouffant à chaque respiration
Une rivière de corps, suppliant la mort
Les os d'un passeur reposent sur un bateau
Les côtés de la peau en décomposition sont collés à un manteau
Une inspiration obsédante, le cadavre a alors parlé
Celui qui entre ici abandonne tout espoir

Je me démords pour sortir du royaume des ténèbres
C'est le sous-sol où les monstres vivent
Des milliers de mains tirant vers le bas depuis le lac
Évite le bord, ton âme est en jeu

Des cavernes impitoyables qui semblent n'avoir aucune fin
Des restes squelettiques en cage pendent à chaque virage
Sa paume ouverte avide, toujours souriante en demandant plus
Paye le prix pour t'aventurer plus loin de ces côtes maudites

Des heures se sont écoulées lors de mon voyage à travers le noir
Dans l'horreur, je crains qu'il n'y ait pas de retour en arrière
De magnifiques portes se rapprochent à travers le brouillard
Saisissant une torche pour voir à travers ce smog
Des vents brûlants, me saluent sur les rives brumeuses
L'architecture me laisse statique, debout dans l'émerveillement
De belles demoiselles appariées, succombent à mon affection
Ainsi, ce ne sont pas des prostituées, c'est une maison de correction
Poussant à travers les régions inférieures de cet enfer épouvantable
Des corps obèses et gonflés sont dispersés dans ce royaume moulé
Des cadavres gloutons pendent en suppliant pour plus
Des estomacs explosés, le vomi jaillit de leur cœur même

Transpirant abondamment de cette chaleur insupportable
Les colériques et les maussades, se battent pour l'inséparable
Éternellement condamnés à pourrir dans des tombes enflammées
Le prix de leurs péchés, dépensé à jamais dans la tristesse

Des gouffres impitoyables qui semblent n'avoir aucune fin
Les cris des damnés résonnent à chaque virage
Sa paume ouverte avide, toujours souriante en ayant besoin de plus
Paye le prix pour t'aventurer plus loin de ces rives tortueuses

Je me démords pour sortir du royaume des ténèbres
C'est le sous-sol où les monstres vivent
Des milliers de mains tirant vers le bas depuis le lac
Évite le bord, ton âme est en jeu