Lyrics and translation Violadores del Verso - No Esperaba Menos

No Esperaba Menos

Presto, si hace
Falta dar el resto,
Seguiras viendo mi firma
De experto en cada texto,
Capítulo
Tras capítulo,
Otros consiguen ridículos,
Faltos de honor títulos.
La Esfera,
Quedaté con el fenómeno,
Líriko por excelencia,
Pavos no esperaban menos.
Tipos me odian
Porque destaco,
Me desmarco, los niños
Se desahogan pisando charcos.
El güisky
Como perfume,
La vida se consume,
En cambio la fama se asume.
Y es que amo
La poesía y el sexo,
Porque joder y escribir
Siempre bajo luz de un flexo.
Se andar por el barrio
Como un chulo,
Como el poeta autorizado
Para describir a Dios.

Nunca di problemas
A la sociedad,
Yo solo lancé piedras
El resto lo hizo la gravedad.
Yo y mis
Movidas traigo,
Algo similar a los enigmas
Que esconden El Cairo.
Ahora me escuchas,
Las victorias fueron muchas,
Por ello pavos serios
Colocan sus capuchas.
Por el dinero
No siento pasión,
Simplemente pongo atención,
¡¡ las cuentas cuadran!!.
Yo soy David,
Dulces besos de anís,
Maestro de Mc's,
Hombre lobo en París.

" Como iba a ser sino,
Como iba a ser sino,
Líriko, ni más ni menos,
Ni más ni menos.
Como iba a ser sino,
Como iba a ser sino,
¿Qué hay de mí?,
Pavos no esperaban menos".

Comparamé con cualquiera
De los que ves por satélite,
Rap Solo,
La élite.
No me conformo
Con poco,
Demasiado vértigo para un tímido
Ser iluminado por focos.
Inmortalizo momentos
Con cada verso,
Mas nunca supe responder
A complicados besos.
Románticas
Se fueron con simpáticos,
Nunca hubo
Melancólicas de alcohólicos.
Tú eres la chica
Noventa-sesenta,
Yo el poeta de las manos
Manchadas de tinta.
Tímidos dejaron
Con la duda, ahora vine
A mojar las butacas
De la última fila del cine,
Para montar
Mi propia aventura,
Estar siempre a la altura
De esbeltas cinturas.
Violadores andan
Como culpables,
Cuando buscan responsables
De hitorias inconfesables.
A base de puños
Y letras trata de ser
Alguien en tu barrio,
Yo haré lo propio en el planeta,
Mientras la Luna
Se nos insinúa,
La saga continúa,
Pavos en la calle puntúan.

Trataré que el ser humano
No cometa errores,
Que perdedores
Me miren sin rencores.
Trataré de parar
El tiempo, ¡¡está bien!!,
Trataré hacer del rap el
Quinto elemento.
Como de alfa
A omega mi puesto
Va de hemisferio a hemisferio,
No seguir ningún criterio,
Es la inquietud
De un pavo serio,
Su actitud esconde misterio,
Y es que Siempre Supe Ser Superior.
Como alergia
Al polen, será cuando
Mis melodías entonen,
A prueba de golpe mi abdomen.
Prestigio,
Mi rap suena en cada edificio,
Me brindas aplausos
A título de prodigio.
Tu fracaso es mi estímulo,
¡¡sin ton ni son.!!,
Para cualquier competición,
Siempre tendrás mi álbum.
No defraudé a los que
Me trataron de increíble,
Que me parta un rayo,
Si no se cuentan por miles.
Antes,
Me escuchaste en pletinas,
Ahora, ¿quién es el pavo
Que deja huella en tu retina?.
Reputación
En vitrinas,
Rap nace en esquinas,
Mas no así en oficinas.

Je n'en attendais pas moins

Vite, s'il le
faut encore tout donner,
tu continueras à voir ma signature
d'expert dans chaque texte,
chapitre
après chapitre,
d'autres obtiennent des titres ridicules,
dénués d'honneur.
La Sphère,
garde le phénomène,
parolier par excellence,
les mecs n'en attendaient pas moins.
Des types me détestent
parce que je me démarque,
je sors du lot, les gamins
se défoulent en sautant dans les flaques d'eau.
Le whisky
comme parfum,
la vie se consume,
en revanche la gloire s'assume.
Et j'aime
la poésie et le sexe,
parce que baiser et écrire
se fait toujours sous la lumière d'une lampe de bureau.
Je me balade dans le quartier
comme un maquereau,
comme le poète autorisé
à décrire Dieu.

Je n'ai jamais posé de problèmes
à la société,
j'ai juste lancé des pierres
le reste, c'est la gravité qui s'en est chargée.
Moi et mes
coups foireux,
quelque chose de semblable aux énigmes
que cache Le Caire.
Maintenant tu m'écoutes,
les victoires ont été nombreuses,
c'est pour ça que les mecs sérieux
mettent leurs capuches.
Je ne ressens aucune passion
pour l'argent,
je fais juste attention,
les comptes sont bons !!
Je suis David,
doux baisers anisés,
maître des MC's,
loup-garou à Paris.

" Comment aurait-il pu en être autrement,
comment aurait-il pu en être autrement,
Líriko, ni plus ni moins,
ni plus ni moins.
Comment aurait-il pu en être autrement,
comment aurait-il pu en être autrement,
qu'en est-il de moi?,
les mecs n'en attendaient pas moins".

Compare-moi à n'importe lequel
de ceux que tu vois par satellite,
Rap Solo,
l'élite.
Je ne me contente pas
de peu,
trop de vertige pour un timide
d'être illuminé par des projecteurs.
J'immortalise des moments
avec chaque vers,
mais je n'ai jamais su répondre
à des baisers compliqués.
Les romantiques
sont parties avec des mecs sympas,
il n'y a jamais eu
de mélancoliques d'alcooliques.
Tu es la fille
des années 90-60,
moi le poète aux mains
ta tachées d'encre.
Les timides sont partis
dans le doute, maintenant je suis venu
pour mouiller les sièges
du dernier rang du cinéma,
pour monter
ma propre aventure,
être toujours à la hauteur
des tailles fines.
Les Violadores se promènent
comme des coupables,
quand ils cherchent les responsables
d'histoires inavouables.
À coups de poings
et de paroles, il essaie d'être
quelqu'un dans ton quartier,
je ferai de même sur la planète,
pendant que la Lune
se fait suggestive,
la saga continue,
les mecs dans la rue notent.

J'essaierai que l'être humain
ne commette pas d'erreurs,
que les perdants
me regardent sans rancune.
J'essaierai d'arrêter
le temps, ok !!,
j'essaierai de faire du rap le
cinquième élément.
Comme d'alpha
à omega, ma place
va d'un hémisphère à l'autre,
ne suivre aucun critère,
c'est l'inquiétude
d'un mec sérieux,
son attitude cache un mystère,
et j'ai toujours su être supérieur.
Comme une allergie
au pollen, ce sera quand
mes mélodies résonneront,
à l'épreuve des coups mon abdomen.
Prestige,
mon rap résonne dans chaque immeuble,
tu m'offres des applaudissements
à titre de prodige.
Ton échec est mon moteur,
sans queue ni tête !!,
pour toute compétition,
tu auras toujours mon album.
Je n'ai pas déçu ceux qui
m'ont qualifié d'incroyable,
que la foudre me frappe,
s'ils ne se comptent pas par milliers.
Avant,
tu m'écoutais sur des cassettes,
maintenant, qui est le mec
qui laisse une trace dans ta rétine ?.
Réputation
dans les vitrines,
le rap naît dans les rues,
mais pas dans les bureaux.