Lyrics and translation Who-ya Extended - The master mind

The master mind

どうせ最期だって きっと一瞬だ
無関心なんて 平らぶった決定打
証明不能な trick ハマっている
ただ憎悪抱いていく
膝まで浸かった冷や汗と
ひび割れる自意識の殻と
止まらない災厄を宿す細胞 道徳の数より
１つ罪悪の分だけ
２つ哲学の分だけ
３つ繋いだ絆の分だけ
Beat it up
現実は変わらない変わらないものって
停止した思考でもって目を逸らして
切り裂いていく無垢な指先で
その裏透けて見える
乾かない乾かない欲望
猛毒は猛毒でもって消し払って
腐れた不条理に嗤う 知ったような顔で
誰が誰を壊す master mind
性善正義ぶっていようと正論だ
無性に嫌いで ぶつかったジレンマ
制限不能な trip 浸っている 痛む眼が冴えていく
隔たれた認識と価値と 問いかけた後悔の意味と
戻らない追想に落とす邂逅
慟哭を裂くように
１つ罪悪の分だけ
２つ哲学の分だけ
３つ繋いだ絆の分だけ
Beat it up
現実は止まらない止まらないものって
凍りついた思想を割って手をかざして
満ち足りていく不遜な結末へ
そのまま賭けて魅せる
騒げない騒げない渇望
猛毒は猛毒でもって刺し違って
廃れた不平等を微笑う 我が物顔で
誰が誰を生かす mastermind
You are the master mind
You are the master mind
誰が誰を壊す master mind
You are the master mind
どうせ最期だって きっと一瞬だ
無関心なんて 平ぶった決定打
制限不能な trip 払ってただ
痛む眼が冴えていく

Le maître d'œuvre

Quoi qu'il en soit, la fin est proche, ce sera sûrement soudain
L'indifférence, un coup de maître sans fioriture
Une illusion indémontrable, tu es pris
Tu ne fais que nourrir la haine
Les genoux dans les sueurs froides
Et la coquille de ton égoïsme se fissure
Tu abrites les cellules des fléaux perpétuels, plus nombreux que les principes moraux
Une faute pour chaque péché
Deux pour chaque conviction
Trois pour chaque lien noué
Beat it up
La réalité est immuable, les choses ne changent pas
Tu détournes le regard avec tes pensées figées
Tu les saccages, tes doigts innocents
C'est l'envers du décor qui se profile
Un désir insatiable
On dissipe un poison par un autre
Un rire moqueur face à la pourriture de l'absurde, l'air de quelqu'un qui sait
Qui détruit qui, maître d'œuvre ?
Tu as beau jouer au vertueux, ce n'est que de la théorie
Une terrible aversion, un dilemme inévitable
Un voyage sans fin, tu y es plongé, tes yeux douloureux s'illuminent
Les perceptions et les valeurs sont distinctes, et le regret de t'être interrogé a du sens
Une rencontre qui te replonge dans des souvenirs sans retour
Comme une déchirure dans les pleurs
Une faute pour chaque péché
Deux pour chaque conviction
Trois pour chaque lien noué
Beat it up
La réalité est incessante, les choses ne changent pas
Ton idéologie glacée se brise, tu tends la main
Un dénouement arrogant, une douce plénitude
Tu continues de jouer, le risque te plaît
Une aspiration silencieuse
Deux poisons se neutralisent
Un sourire face à l'inégalité déchue, l'air de quelqu'un qui possède
Qui donne vie à qui, maître d'œuvre ?
Tu es le maître d'œuvre
Tu es le maître d'œuvre
Qui détruit qui, maître d'œuvre ?
Tu es le maître d'œuvre
Quoi qu'il en soit, la fin est proche, ce sera sûrement soudain
L'indifférence, un coup de maître sans fioriture
Un voyage sans fin, que tu refuses
Tes yeux douloureux s'illuminent