Lyrics and translation Слот - Heaven

Heaven

There is such a love so often confused
for something that real, but it's a always been
dead.
And when I explain why it's love is refused
it can't believe what I've said, and screams with
hatred.
Who can judge the victim who I betrayed?
That I was killing. God is dead.
Now who can hear when I pray?
This silent screaming…
It asked me to come. It never let go.
A shadow at my back trailing eternally.
But when I ignored it –- never even said no –
all of the love turned to rage… inside it's dreams
killed me.
Who can judge the victim who I betrayed?
That I was killing. God is dead.
Now who can hear when I pray?
There silent screaming to heaven.
I've fallen down. I'm on my knees (Heaven)
I've fallen. All is lost for me. I've fallen. (Heaven)
I've lost now for eternity. I've fallen. (Heaven)
I've fallen. Heaven's hid the key.
In this domain, souls fade away.
Drifting down to where death is warm.
So with ur hand in my hand…
Forever's found underground.
Who can judge the victim who I betrayed?
That I was killing. God was dead.
He could not hear my last small silent scream in
death.

Paradis

Il y a un amour si souvent confondu
pour quelque chose de réel, mais c'est toujours
mort.
Et quand j'explique pourquoi cet amour est refusé
il ne peut pas croire ce que j'ai dit, et crie de
haine.
Qui peut juger la victime que j'ai trahie ?
Que je tuais. Dieu est mort.
Maintenant, qui peut entendre quand je prie ?
Ce cri silencieux…
Il m'a demandé de venir. Il ne m'a jamais laissé partir.
Une ombre dans mon dos, traînant éternellement.
Mais quand je l'ai ignoré – jamais même dit non –
tout l'amour s'est transformé en rage… dans ses rêves
il m'a tué.
Qui peut juger la victime que j'ai trahie ?
Que je tuais. Dieu est mort.
Maintenant, qui peut entendre quand je prie ?
Ce cri silencieux vers le paradis.
Je suis tombée. Je suis à genoux (Paradis)
Je suis tombée. Tout est perdu pour moi. Je suis tombée. (Paradis)
Je suis perdue maintenant pour l'éternité. Je suis tombée. (Paradis)
Je suis tombée. Le paradis a caché la clé.
Dans ce domaine, les âmes s'effacent.
Dérivant vers le bas, là où la mort est chaude.
Alors avec ta main dans la mienne…
L'éternité se trouve sous terre.
Qui peut juger la victime que j'ai trahie ?
Que je tuais. Dieu était mort.
Il n'a pas pu entendre mon dernier petit cri silencieux dans
la mort.