Paroles et traduction Andrés Calamaro - El Gallego
Cómo
se
llamaba
el
gallego?
Comment
s'appelait
le
Galicien
?
Cómo
se
llamaba
el
gallego?
Comment
s'appelait
le
Galicien
?
Que
venía
por
tráfico
de
Carabanchel
Qui
est
venu
par
le
trafic
de
Carabanchel
En
vuelo
directo
a
Devoto
En
vol
direct
vers
Devoto
Venía
con
botas
tejanas
Il
est
venu
avec
des
bottes
texanes
Venía
con
botas
tejanas
Il
est
venu
avec
des
bottes
texanes
Que
le
cambiaron
por
franciscanas
Qui
lui
ont
été
échangées
contre
des
franciscaines
Que
fueron
forradas
para
pasar
Qui
ont
été
doublées
pour
passer
No
tenía
a
nadie
Il
n'avait
personne
No
tenía
a
nadie
Il
n'avait
personne
Cayó
por
un
documento
Il
est
tombé
pour
un
document
Y
aprendió
que
adentro
lo
ayudan
Et
il
a
appris
qu'à
l'intérieur,
on
l'aide
A
afuera
nadie
lo
espera
Dehors,
personne
ne
l'attend
Como
pasa
casi
siempre
Comme
ça
arrive
presque
toujours
Tenía
una
sola
campera
Il
avait
une
seule
veste
Tenía
una
sola
campera
Il
avait
une
seule
veste
Y
jugaba
bien
al
ajedrez
Et
il
jouait
bien
aux
échecs
Con
piezas
de
papel
de
diario
Avec
des
pièces
en
papier
journal
Harina
y
miga
de
pan
De
la
farine
et
des
miettes
de
pain
Cómo
se
llamaba
el
gallego?
Comment
s'appelait
le
Galicien
?
Cómo
se
llamaba
el
gallego?
Comment
s'appelait
le
Galicien
?
Cayó
por
tráfico
internacional
Il
est
tombé
pour
trafic
international
Por
transportar
herramientas
de
maestro
Pour
transporter
des
outils
de
maître
Envueltas
en
guantes
de
doctor
Enveloppés
dans
des
gants
de
médecin
Todo
guardado
bien
adentro
Tout
bien
rangé
à
l'intérieur
Contaba
cuentos
de
historias
de
Perú
Il
racontait
des
histoires
du
Pérou
Pero
era
mas
laucha
que
una
chaucha
Mais
il
était
plus
pauvre
qu'une
chaucha
No
pesaba
50
kilos
Il
ne
pesait
pas
50
kilos
Y
alguien
le
tiraba
un
churrasquito
Et
quelqu'un
lui
lançait
un
petit
churrasco
Con
ensalada,
para
vivir
Avec
de
la
salade,
pour
vivre
Así
pasaba
los
días
en
el
pabellón
C'est
comme
ça
qu'il
passait
ses
journées
dans
le
pavillon
Durmiendo
casi
siempre
Dormant
presque
toujours
Pero
tenía
la
simpatía
Mais
il
avait
de
la
sympathie
Y
nunca
fue
alcahuete
Et
il
n'a
jamais
été
un
flic
Y
tenía
bigote
finito
Et
il
avait
une
fine
moustache
Y
aguantaba
con
el
churrasquito
Et
il
tenait
bon
avec
le
churrasco
Y
aprendió
que
adentro
te
ayudan
Et
il
a
appris
qu'à
l'intérieur,
on
t'aide
Y
afuera
nadie
te
espera
Et
dehors,
personne
ne
t'attend
Pasa
casi
siempre
Cela
arrive
presque
toujours
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Writer(s): Andres Calamaro Masel, Jorge Humberto Larrosa
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